Pour le test de cette semaine, je suis allée sur le terrain, je me suis investie physiquement, psychiquement et moralement. Hein je suis sympa ?
Il faut avouer que je ne faisais pas la fière. Cependant, j'avais décidé de ne pas prendre de "tranquillisant" (suis-je la seule à penser "vétérinaire" et "éléphant" quand je lis "tranquillisant"). Ayant déjà testé ce tranquillisant là, je savais qu'il me rendrait HS pour toute la journée et provoquerait des trous de mémoire. Donc, après discussion avec l'assistante pour savoir si il était gérable de faire l'examen sans, je commençais à douter. Sa manière d'expliquer l'examen ainsi que le ressenti du patient m'a quelque peu chamboulée. Mais, je restais tout de même sur mes positions. Après tout, je ne suis pas douillette et j'ai déjà vécu bien d'autres expériences plus douloureuse que celle-là sans tranquillisant.
Et puis, le médecin est arrivé, me demandant lui aussi si j'étais sûre de ne pas vouloir de tranquillisant. Après lui avoir expliqué mes raisons, je le vois prendre un air très sérieux en me disant : "Nan mais, honnêtement, prenez le tranquillisant, parce que c'est pas facile quand même". Lorsqu'un médecin vous dit que ça va faire mal, vous lui faites confiance, parce qu'en règle général un médecin ne vous le dis pas. J'ai donc craqué est accepté le tranquillisant. Pendant la préparation à l'examen, j'ai repéré les instruments qu'il allait m'enfoncer dans la gorge, j'avoue que le stresse était à son comble. De plus, l'assistante m'avait endormi la gorge avec un spray plus que dégoûtant et la sensation était très particulière. J'avais l'impression de ne plus pouvoir avaler. Et c'est alors que je me disais que j'allais m'en aller, que le médecin est arrivé avec le tranquillisant. Nous avons tout d'abord plaisanté un peu. Peu avant il c'était coincé le doigt dans une porte et je lui avais souhaité de s'être cassé le doigt pour m'épargner l'examen. Il m'assurait donc que son doigt allait bien.
Bref, il m'a injecté sa dose de bonheur dans les veines et à peine avait-il dit que j'allais sentir ma tête tourné qu'elle tournait déjà. En ce qui concerne la suite, je me rappelle de sensation très désagréable, de difficulté respiratoire, de petites douleurs et d'avoir repris mes esprits 1h00 après, alors que j'étais à la maison. Je ne me rappelle pas comment c'est terminé l'examen, je ne me rappelle pas être sortie du cabinet, je me rappelle juste la confusion et la fatigue.
La fatigue a été flagrante, et j'ai dormi pendant 2 heures et j'ai été flagada toute la journée. Malheureusement, je n'allais pas avoir la paix pour autant. Je suis du genre à faire monter la fièvre lorsque je suis très inquiète, à tomber malade lorsque je me fais du soucis. Du coup, je me suis retrouvée en fin d'après-midi couchée dans mon lit grelottant et ça a duré toute la nuit. Je me sens ce matin un peu mieux. Je ressens qu'à certains endroits, le tube a légèrement irrité ma gorge, je peux probablement définir l'endroit de mon estomac ou le médecin à fait la biopsie et j'ai des courbatures... Mais c'est loin derrière maintenant... je n'ai plus qu'à attendre les résultats maintenant.
Il faut avouer que je ne faisais pas la fière. Cependant, j'avais décidé de ne pas prendre de "tranquillisant" (suis-je la seule à penser "vétérinaire" et "éléphant" quand je lis "tranquillisant"). Ayant déjà testé ce tranquillisant là, je savais qu'il me rendrait HS pour toute la journée et provoquerait des trous de mémoire. Donc, après discussion avec l'assistante pour savoir si il était gérable de faire l'examen sans, je commençais à douter. Sa manière d'expliquer l'examen ainsi que le ressenti du patient m'a quelque peu chamboulée. Mais, je restais tout de même sur mes positions. Après tout, je ne suis pas douillette et j'ai déjà vécu bien d'autres expériences plus douloureuse que celle-là sans tranquillisant.
Et puis, le médecin est arrivé, me demandant lui aussi si j'étais sûre de ne pas vouloir de tranquillisant. Après lui avoir expliqué mes raisons, je le vois prendre un air très sérieux en me disant : "Nan mais, honnêtement, prenez le tranquillisant, parce que c'est pas facile quand même". Lorsqu'un médecin vous dit que ça va faire mal, vous lui faites confiance, parce qu'en règle général un médecin ne vous le dis pas. J'ai donc craqué est accepté le tranquillisant. Pendant la préparation à l'examen, j'ai repéré les instruments qu'il allait m'enfoncer dans la gorge, j'avoue que le stresse était à son comble. De plus, l'assistante m'avait endormi la gorge avec un spray plus que dégoûtant et la sensation était très particulière. J'avais l'impression de ne plus pouvoir avaler. Et c'est alors que je me disais que j'allais m'en aller, que le médecin est arrivé avec le tranquillisant. Nous avons tout d'abord plaisanté un peu. Peu avant il c'était coincé le doigt dans une porte et je lui avais souhaité de s'être cassé le doigt pour m'épargner l'examen. Il m'assurait donc que son doigt allait bien.
Bref, il m'a injecté sa dose de bonheur dans les veines et à peine avait-il dit que j'allais sentir ma tête tourné qu'elle tournait déjà. En ce qui concerne la suite, je me rappelle de sensation très désagréable, de difficulté respiratoire, de petites douleurs et d'avoir repris mes esprits 1h00 après, alors que j'étais à la maison. Je ne me rappelle pas comment c'est terminé l'examen, je ne me rappelle pas être sortie du cabinet, je me rappelle juste la confusion et la fatigue.
La fatigue a été flagrante, et j'ai dormi pendant 2 heures et j'ai été flagada toute la journée. Malheureusement, je n'allais pas avoir la paix pour autant. Je suis du genre à faire monter la fièvre lorsque je suis très inquiète, à tomber malade lorsque je me fais du soucis. Du coup, je me suis retrouvée en fin d'après-midi couchée dans mon lit grelottant et ça a duré toute la nuit. Je me sens ce matin un peu mieux. Je ressens qu'à certains endroits, le tube a légèrement irrité ma gorge, je peux probablement définir l'endroit de mon estomac ou le médecin à fait la biopsie et j'ai des courbatures... Mais c'est loin derrière maintenant... je n'ai plus qu'à attendre les résultats maintenant.
3 commentaires:
Tiens moi au courant surtout courageuse petite Mary @};-
Plein de bisous doux :* :* :*
Je n'y manquerai pas... merci :x
Je ne sais pas ce qu'ils vous donnent en Suisse comme tranquillisant mais ça a l'air plus gai qu'en Belgique :D
Enregistrer un commentaire