mercredi, juin 30, 2010

Combien pour ce livre, dans la vitrineuuuuu...

Il y a un truc qui m'énerve profondément en Suisse. En vrai, il n'y en a pas qu'un, mais aujourd'hui, ce truc là en particulier, me casse les pieds.

Je sors de la bibliothèque ou j'ai acheté un livre rigolo pour Miss A., rien de bien original, mais suffisamment quand même pour qu'il me coûte 23.-- CHF, soit environ 16 euros si je prends un court très haut. Avant d'offrir un cadeau, je fais comme tout le monde, j'enlève l'étiquette sur laquelle figure le prix. Et là, juste en dessous de l'étiquette, il y a un code barre ainsi que le prix en euro. Et lorsque je lis 11 Euro (15,40 CHF), ça m'énerve très fort.

Bon d'accord, il y a les frais de port, les taxes et tout et tout. Mais les charges me semblent énorme surtout que, si, à ma petite échelle, je commande sur le net en France, malgré les frais de port, le prix reste beaucoup plus attrayant.

Pour moi, un livre devrait être accessible à tous. Je ne parle pas du livre d'art, ou des éditions de luxe. Non, je parle du simple livre de poche. A ce prix là, pour beaucoup, ça devient un luxe. Alors oui, il y a les bibliothèques. Malheureusement, dans ma région, elles sont en général mal fournies en oeuvre récente et ont des horaires qui ne conviennent pas aux travailleurs. Je n'ose pas louer de livre pour enfant. Parce qu'un enfant c'est maladroit, parce qu'un enfant ça à besoin qu'on lui lise les histoires plusieurs fois et puis c'est chouette de revenir sur certains bouquins lorsqu'on est un peu plus âgé.

Ne venez pas me parler sur salaire plus élevé en Suisse qu'ailleurs. En Suisse, il y a des pauvres comme partout ! Et puis certaine fin de mois, je peu vous assurer que j'apprécierai grandement de faire mes courses alimentaires en France ! Mais cela est un autre débat. Il y a des tas de choses pour lesquels ça ne me dérange pas de payer un prix un peu plus élevé. Je le fais avec mes vêtements ou avec la nourriture par exemple. Mais j'ai le choix dans ces deux domaines. Je peux aller m'habiller chez Chanel si j'en ai les moyens ou alors chez H&M. Même chose pour l'alimentaire. Si je décide chaque semaine d'aller faire mes courses au marché, en cas de disette, je peux me diriger vers des commerces à prix très abordable.

Pour les livres, je n'ai pas le choix. Enfin si, je l'ai. Je commande sur le net ! Mais nous n'avons pas tous une carte de crédit ni internet.

Il serait chouette que les librairies organisent une section secondes mains, je suis sûre qu'elle y trouverait preneur. Mais là encore, je dévie du sujet de départ.

Il y a vraiment un truc qui m'échappe dans cette histoire... et si quelqu'un à une réponse à me donner, j'en serais ravie.

lundi, juin 28, 2010

Mr Bear cherche famille d'adoption

Mr Bear est à gagner sur "le crochet ce n'est pas que pour ma mémé". Je ne vous demande rien pour le gagner, juste un commentaire et un tirage au sort aura lieu vendredi.

vendredi, juin 25, 2010

Le nivellement par le bas...

Je vais, l'espace d'un poste, prendre la place de mes parents. Le discours que je vais tenir est probablement le même qu'ils me tenaient lorsque j'étais à l'école. Je ne peux, cependant, pas vous assurer qu'il était 100% le même parce que j'étais très pré-occupée par les histoires de coeur de ma copine et du fait que nous n'avions pas encore passé 1 heure au téléphone ce jour là et que du coup, je ne savais même pas si elle avait choisi de mettre son pull noir ou bordeaux.

Voici donc mon parcours. J'ai fais partie d'une classe pilote. Le but, était d'introduire une période de musique par jour. Pour nous sensibiliser, nous détendre et de ce fait être plus réactif aux autres matières. En théorie c'est très joli. Mais vous, qui me lisez depuis un petit temps maintenant, êtes à même de constater les conséquences qu'a eu cette expérience sur... mon orthographe par exemple. Heureusement pour moi, j'avais des facilités. Je n'ai pas fais une seul devoir de toute ma scolarité, est je me suis retrouvée dans les moyennes hautes de la classe. Je n'ai donc absolument rien fait de scolaire pendant tout ce temps. Mais j'ai développé une aptitude impressionnante en ce qui concerne le "papotage" et à l'art du petit mot envoyé discrètement. Et puis, en dernière année scolaire, il a été décidé que ce système scolaire était un échec. Résultat ? Retour à l'ancien programme. Et là, je suis tombée de haut, parce que nous avions des lacunes énormes. Dès le premier jour, je recevais de la part de ma prof un bon coup de craie sur le crâne et je comprenais qu'on ne rigolerait plus. J'ai bossé comme une forcenée, pour retrouver le niveau et rattraper les autres. Toute la classe a dû s'y mettre et nous avons tous eus notre certificat en fin d'année. Ouf ! Sortie à 15 ans de l'école obligatoire, personne n'a voulu me prendre en formation sous prétexte que j'étais trop jeune. J'ai donc fais une année d'école de commerce dans un autre canton en attendant de me décider sur mon futur. Sur la base de mes notes, il a été décidé que je ne ferai pas d'examen d'entrée. Mais, dès la première période, assise sur ma chaise, je me suis rendue compte qu'encore une fois, je n'avais pas le niveau. Voilà en gros, mon parcours scolaire personnel.

J'ai été baladée dans un système scolaire peu sur de lui, qui n'enseigne pas de la même manière suivant ou l'on se trouve, qui ne laisse aucune chance à celui qui n'a pas : la force, l'envie et les capacités de faire quelque chose. Je pensais, que ces erreurs faisaient partie du passé et ce matin, à la radio, j'ai entendu que les échecs scolaires étaient en hausse.

Je ne sais pas ou nous allons, mais une chose est sûre, pas très loin. Lorsque j'entends le vocabulaire utilisé par les enfants dans la cours d'école, j'ai peur. Lorsque je les vois avachis sur les barrières, banc ou couloirs des centres commerciaux j'ai peur. Et je me demande, en tant qu'employeur comment je réagirais fasse à un jeune, incapable d'écrire deux lignes sans fautes ou de calculer.

Alors, en écoutant cette émission de radio, j'attendais de la part de la personne interviewée une solution et lorsqu'elle l'a énoncée, je suis restée bouche-bée. Sa solution ? Mélanger le monde économique et le monde scolaire. Préparer les enfants au monde du travail. Hein ? La solution est donc de faire de nos enfants des moutons pour qu'ils aient travailler vite et deviennent de bons consommateurs ! Je comprends mieux pourquoi la Suisse voit s'enfuir ses gros cerveaux, il semblerait qu'ici, ils ne soient pas les bienvenus. 

Il est temps de remettre les choses à zéro, d'arrêter de nous faire voter "pour ou contre les notes". J'en ai, pour tout vous dire, strictement rien à faire que mes enfants reçoivent un "très bien" ou un "10". Ce que j'aimerai, c'est que ce "très bien" aie une vraie valeur et qu'ils aient réellement appris quelque chose. Alors oubliez la psychologie à deux sous, l'enseignement ludique et pensez surtout à apprendre à nos enfants à devenir des gens curieux et indépendant, pas des consommateurs !

mercredi, juin 23, 2010

Encore un blog...

Si j'ai été absente sur ce blog quelques semaines, je n'ai pas pour autant été inactive. Lorsque j'ai réalisé pour Armalite un petit faon et un renard en crochet, la fièvre c'est à nouveau emparée de moi. Alors mes petits doigts se sont agités et à force de voir des petits Amigurumis pousser partout et envahir mon espace, j'ai décidé de créer un blog. 

Il y a des tonnes de blog de crochet qui existent, je ne crois pas que le miens ait véritablement du succès. Mais, ce n'est au final pas son but. Comme je distribue en général autour de moi mes créations, je n'en garde en général aucun souvenirs, j'avais donc envie de les garder un peu pour moi quand même en leur créant un lieu ou je pourrais tous les réunir. Je ne me sens comme ça pas obligée de créer et me sens très libre.

Pour l'instant, je l'éditerais tous les lundi. Et j'ai envie de mettre au concours quelques-unes de mes créations, je vous informerais donc sur ce blog des éventuelles petites bestioles à gagner.

Pour le reste.... qui vivra verra...

Je vous laisse donc aller faire un petit tour sur : "Le crochet ce n'est pas que pour ma mémé !"

lundi, juin 21, 2010

C'est la nature...

Dès les premiers jours du printemps, je vois les hirondelles s'afférer à refaire le nid des années précédentes. J'aime voir le bal de ses demoiselles que je trouve particulièrement gracieuses et attachantes. Heureusement pour elles, depuis que je vis ici, elles ont la chance de pouvoir réaliser leur dur labeur sans qu'on viennent les déranger. Mon propriétaire étant un homme particulièrement maniaque, il ne supportait pas de voir sa façade abîmée par les nids, il faisait donc fi de la loi les protégeant, en détruisant les nids.

Comme je ne suis pas maniaque, je préfère les observer et entendre les petits piaillement des bébés qui réclament leur nourriture me fait sourire le matin au saut du lit. Malheureusement, le nid qui se trouve au-dessus de ma fenêtre et prit d'assaut par les moineaux. Ces affreux, jettent les bébés hors du nid et terrorise la mère. Et moi je suis impuissante et j'avoue que ça m'est très pénible.

Je n'ai jamais compris comment on pouvait rester de marbre devant un animal en détresse. Lors de mes séjours en Sicile, j'ai été de nombreuses fois choquée de voir des enfants s'acharner sur des chats en leur jetant des cailloux, en les battant et tout ça, devant les yeux des parents qui ne bougeaient absolument pas. Ça me rendait méchante et j'insultais ses gens.

Je dois tenir ça de mon père. Lui non-plus ne peux pas résister fasse à la souffrance d'un animal. Il a recueillit de nombreux chiens et chats et un corbeau aussi, qu'il avait finalement réussi à apprivoiser.

Les documentaires animaliers sont donc pour moi une vraie torture. Je me demande comment il est possible de filmer un animal en détresse, de le voir mourir et de ne rien faire. Je crois que j'en serais malade. Aujourd'hui, j'ai voulu montrer à Miss. A. un documentaire fait par Disney : "Les ailes pourpre". Je ne l'avais pas encore vu, mais me suis dit que je ne prenais pas grand risque avec un Disney. Nous avons arrêter de regarder le documentaire 20 minutes après le début. Même si les images sont magnifiques et que nous avons été courageuse lorsque les bébés flamant rose se faisaient manger par les Marabou. Nous  n'avons pas supporter de voir  un petit  flamant rose rendre l'âme, les pattes et le pelage figé à cause du sel. Miss A. était en larme et moi, je n'en menais pas large... Et que répondre à une petite fille qui est attristée de voir un tel spectacle ? Simplement : C'est la nature... et elle est parfois bien cruelle.

vendredi, juin 18, 2010

M.Pops teste : Bio Beauté by Nuxe

J'ai un gros problème au niveau des odeurs en cosmétique. Lorsqu'on utilise un déodorant à l'odeur de noix de coco, un shampoing à l'odeur de mandarine, une crème pour le visage à l'odeur indéterminée, une crème pour le corps à l'odeur de pomme et que pour parfaire le tout ont se vaporise d'Angel, il y a de quoi faire tourner les têtes, mais pas à cause de ce que vous croyez. Non mesdames, nous n'aimons pas tous les mêmes odeurs et si certains réagissent c'est souvent parce que trop, c'est trop et que c'est écoeurant, voir dégoûtant.

Malheureusement, il est difficile de faire autrement. Parce qu'avouons le, les produits sans parfum, ben ça sens quand même pas bon.

Je farfouille donc souvent à la recherche d'odeur légère qui ne me donnerait pas mal à la tête. Une odeur que seul ceux qui viendrait poser le nez sur ma peau pourrait percevoir. Et bien croyez-moi, ce n'est pas chose facile. Rajoutons à ça le fait que Mr Pops a le nez tellement long, hum, fin, je voulais dire fin et qu'il est pénible à ce niveau là, j'ai parfois l'impression que c'est mission impossible.

Pour le visage, pas de mystère, j'utilise la crème Avène, elle n'a presque pas d'odeur et elle s'évapore très vite. Mais pour le corps, c'est un enfer pour moi d'allier crème de qualité et odeur légère.

Et puis en passant l'autre jour par hasard dans le rayon huile pour le corps, je suis tombée sur l'huile Bio beauté. Après avoir minutieusement regardé la composition, je me suis laissée séduire et j'ai tenté le coup. Et là, Bingo ! L'odeur est vraiment très légère et l'huile laisse un voile très agréable mais qui ne colle pas et ne nous laisse pas comme une vieille frite oubliée dans une friteuse. Ma première impression a été positive. Il me restait encore à passer le test Mr Pops. J'ai donc fais comme les chats. Je lui ai tourné autour, me suis collée à lui et j'ai attendu la remarque. Ben rien. Il n'a rien dit. Victoire donc sur tous les plans.

Je pensais donc avoir trouvé mon graal... et puis... voilà un mois que je l'utilise maintenant. Et cette odeur qui me semblait douce au départ commence m'écoeurer. Finalement toutes ces graînes qui donnent cette odeur veloutée deviennent pesantes avec les beaux jours qui arrivent. Je la terminerai donc probablement cet hiver... en attendant, je continue mes recherches...

mercredi, juin 16, 2010

Gay et UDC.... On est le premier avril c'est ça ?

C'est la révolution en Suisse ! Les Gays entrent en politique non sans une certaine polémique. Mais à quel parti se sont-ils affiliés me demandez-vous ?

Aux socialistes ? Non.

Aux écolo ? Non plus...

Vous donnez votre langue au chat ?

Je ne tiendrais pas le suspens plus longtemps. La réponse est : l'UDC !

L'UDC, qui, je le rappelle pour ceux qui ne connaissent pas la politique Suisse, et le parti de droite le plus représenter en Suisse. Je ne sais pas vous, mais moi ça me laisse un peu perplexe. Comment, après avoir vécu la discrimination, après avoir dû se battre pour obtenir le droit d'être paxé, après avoir été souvent mis à l'écart, des homosexuels pourraient s'affilier à l'UDC. Je ne comprends pas.

Comment l'UDC, qui ne jure que par le modèle de famille classique, qui est contre l'adoption d'enfant par des couples homosexuels, qui fait preuve d'intolérance et qui ose faire des affiches comme celle-ci :



peut charmer la communauté Gay ?

Malgré tout, si cette section, tente de voir le jour, l'UDC semble ne pas être tout à fait d'accord et l'affaire est loin d'être gagnée. Et c'est là que ça devient drôle, parce l'UDC, qui est un parti fabuleux lorsqu'il s'agit de polémique, nous montre encore une fois à quel point il perd vite pieds. Ainsi, on a pu lire dans la presse ces mots pour définir la création de cette section : "une tumeur qu'il faudra traiter pas chimiothérapie !".

Et après ça ? Vous voulez encore insister pour une section Gay ?

Encore une fois je le répète, je ne vois pas ce que les uns ont à faire avec les autres. Je peux comprendre qu'une communauté qui a souffert aient besoin d'être reconnue dans tous les domaines. Mais là c'est un combat qui n'a pas de sens. A moins que tout ça ne soit qu'une plaisanterie visant à ridiculiser l'UDC. Sinon, si tout cela est bien sérieux, le fait que "Gay" soit mis en avant me fait le même effet que lorsqu'on parle de quota homme/femme. Ce n'est finalement pas les compétences qui sont misent en avant, mais un facteur qui selon moi n'a rien à voir avec la politique.

Alors courage à cette section qui va avoir beaucoup de peine à être légitimée et je me réjoui d'avance de voir les réactions des grands noms du partis...

lundi, juin 14, 2010

Ce nombril qui prends trop de place...

Vous avez vu mon blog ces derniers mois ? Je trouve qu'il n'a plus rien à voir avec ce qu'il était au début et finalement, il reflète assez bien mon état d'esprit.

Ces temps je m'encroûte, je m'enferme et ne regarde que mon univers. Et en relisant les postes de ses derniers mois, je me rends compte à quel point rien ne m'a intéressé ou enflammé à part moi. Je ne me doutais pas que le fait d'avoir été mise dehors de chez moi avez eu un tel impact sur mon moral et ma vie de tous les jours. Je néglige mes amis, mes affaires et tout me semble insurmontable.

Ce n'est pourtant pas moi ! Oh non ! Lorsque je suis motivée je suis capable de faire taper des montagnes et il n'y a pas si longtemps encore, j'en avais encore envie.

Mais la roue tourne. Heureusement. Je commence enfin à me sentir ridicule de me plaindre ainsi. Et puis il y a une lumière au bout de ce tunnel que je commence enfin à apercevoir.

En début de semaine, je me suis trouvée un nouveau nid. Même si l'enthousiasme n'est pas là et si je n'ai pas envie de partir de cet endroit ou j'avais commencé à prendre racine. Je sais déjà que cet endroit va me faire lever le bout du nez.

Je m'excuserais ensuite de mon absence auprès des gens que j'aime et je recommencerai à écrire sur autre chose que mon nombril. Ça vous fera des vacances !

Merci à ceux qui s'inquiètent de me voir si peu présente et qui ont demandés de mes nouvelles. Je reprends du services dès aujourd'hui et en couleur !

jeudi, juin 10, 2010

Ah bon ? C'était pas pour rire ?




Il y a quelques temps déjà que j'avais envie de partager avec vous cette vidéo et puis je me suis dis que ce n'était pas gentil de se moquer des gens ainsi. Et puis, Armalite a posté un lien vers cet article : "Une majorité de Français contre l'anonymat des blogueurs, ou mal informée ?"

Ah bon ? C'était donc sérieux ? J'avais pris cette vidéo comme une plaisanterie, presque comme une parodie et j'étais persuadée que ce monsieur n'avais aucune crédibilité et qu'il n'y aurait que mon papy et ma mamy affolés par la technologie actuelle qui pourrait croire en lui. Et bien apparemment je me trompais.

J'aimerais bien que Monsieur Masson vienne m'expliquer comment toutes les jeunes demoiselles qui ont un blog sur Skyblog et qui sont déjà fort peut attentives aux données qu'elles publient vont pouvoir se protéger des pervers si ont mentionne en plus sur les blogs leur véritable nom ? Et puis aussi, comment va t'il faire lorsque tous les blogueurs vont se faire héberger à l'étranger pour mettre en vigueur sa loi. Et ce n'est que deux questions parmi un liste impressionnante que je pourrais fournir.

Monsieur Masson, s'il vous plaît, utilisez votre énergie pour apprendre quelques notions d'informatiques et ensuite je suis sûre que vous aussi, vous rirez de votre bêtise ! Ça fera une bonne histoire à envoyer par mail à vos p'tits enfants quand vous serez vieux assis au coin du feu.