jeudi, novembre 29, 2007

Mon nouveau jouet...

Voilà maintenant bien des années que j'en rêve... que je le veux... et que je le réclame au père Noël sans succès (je ne suis probablement jamais assez sage)...

Le Père Noël a eu tort de ne pas me donner ce que je voulais. Il aurait pu en profiter et je suis sûre qu'il en aurait redemandé. Parce qu'avec mon nouveau jouet, on peut faire mille et une chose, parce qu'avec lui tous nos sens sont en éveil.

Il a une esthétique séduisante. Un peu rétro il faut bien l'avouer, mais utilisé par de nombreuses femmes depuis assez longtemps pour prouver sa qualité. Le miens est rose, juste parce que j'aime ça. Je ne le quitte plus depuis hier, je pense à lui tout le temps et je me plais à imaginer toutes les choses que je pourrais faire avec. Je n'ai d'ailleurs pas attendu très longtemps avant de l'utiliser. Juste pour voir, juste pour me faire plaisir.

A le voir ronronner comme ça, je me suis dit que lui et moi ce serait pour toujours. Malheureusement, je vais être contrainte à l'utilisation restreinte. Oui je vais abuser de lui pendant les prochaines semaines, mais ensuite, il va falloir que je me calme. Parce que l'abus de mon nouveau jouet influencerai mon physique et mon entourage se rendrait vite compte que quelque chose a changé dans ma vie...

Je vous présente donc Vrouuuuuuuumi, mon nouveau jouet.

mardi, novembre 27, 2007

Le mystère de la main bleue de la femme Kinder...

J'ai testé il y a quelques jours une soupe au chou rouge et à la courge, ce n'était pas très bon donc je ne m'étendrais pas sur le sujet.

C'est très joli quand ça cuit le chou rouge, l'eau de cuisson devient bleue violette. Le problème, c'est que ça tache et que j'en ai mis un peu partout. Depuis ce jour, j'ai remarqué que même si mes mains semblaient propres, lorsque je les lavais, bien souvent la mousse du savon devenait bleue. Etrange n'est-ce pas ? Surtout que lorsque je regardais mes mains, elles n'étaient pas bleue.

J'ai donc vidé ma cuisine en nettoyant tout à fond et en changeant tout ce qui aurait pu avoir contact avec cette soupe. Mais rien n'a changé, la mousse était toujours bleue. Je me suis donc demandés si j'avais été enlevée par des extra-terrestres. Mais non, je n'ai décelé aucunes marques qui pourraient prouver l'enlèvement. Et puis plus rationnelle, je me suis dis que je transpirais le chou rouge... mais seule mes mains faisaient de la mousse bleue. Ensuite j'ai pensé à la lumière de la salle de bain, j'ai donc changé de pièce et non, c'était toujours bleu.

J'ai commencé à stresser un peu en me disant qu'il fallait que je trouve tout de même une solution à ce mystère. Parce que je veux bien accepter que je suis bien souvent maladroite, qu'il m'arrive des trucs bizarre parfois, mais là, ça dépassait un peu la limite.

Et puis, samedi, je me suis lavée les mains, la mousse était toujours bleue et j'ai fais un geste qui a répondu à ma question. J'ai récupéré dans la poche de mon jeans tout beau tout neuf, mon élastique à cheveux. Et lorsque je l'ai pris en main et que j'ai regardé sa couleur, ça m'a fait tilt !!! C'était ce schcreugneuneu de jeans qui bien que lavé déjà deux fois continuait à déteindre... Et c'est après avoir savouré le fait que j'avais compris, que je me suis sentie femme kinder... Brune à l'extérieur et blonde à l'intérieur... (merci à sweety pour cette expression qui lui revient de droit )
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jeudi, novembre 22, 2007

Anchè Liberò va bene....

Il m'aura fallu un temps spectaculaire pour voir ce film tant désiré sorti en 2006. A sa sortie j'ai tout d'abord dû trouver une salle de cinéma qui l'avait à l'affiche. Une fois trouvé, il a fallu que je patiente... tellement longtemps que d'autres choses sont venues se greffer à mon emploi du temps et hop, j'ai oublié. Je suis donc partie à la recherche d'une autre salle et lorsque je l'ai trouvée elle ne le projetait qu'un seul soir. Il était donc écrit dans mon agenda "CINEMA" en très très gros. Et le jour venu, je me trouvais au fond du lit avec une grosse grippe, impossible donc pour moi de conduire et surtout d'apprécier le film. Et à 40.--CHF le DVD, j'avoue que j'hésitais franchement très fort à l'acquérir.

Désespérée, attendant mon prochain voyage en Italie pour voir si je le trouverai moins cher là-bas, mon facteur m'a fait une jolie surprise. Voilà 3 ans maintenant que je reçois le programme du cinéclub de ma région et que je n'y trouve pas mon bonheur, mais là, au milieu de la programmation se trouvait le titre de ce film !!! J'allais enfin pouvoir voir ce schreugneugneu de film à un prix raisonnable et surtout en VO. Et me voilà mardi soir, dans la salle de cinéma à lire Lunar Park en attendant le début de la projection.

Les lumières s'éteignent et je plonge dans l'univers de Kim Rossi Stuart...

On entre donc dans le quotidien d'une famille mono-parentale ou le père s'occupe tant bien que mal de ses deux enfants. Il est cameraman et a décidé de se mettre à son compte. Bien que les enfants semblent à l'aise dans cette situation, on ressent quand même un léger malaise. Le père est des plus ordinaire, voué à sa famille avec les soucis qui vont avec ce qui inclus donc les pétages de plombs sans raison pour ne pas dévoiler à ses enfants la vraie nature de ses soucis. Tout se passe relativement bien jusqu'au retour de la mère. Le retour est particulièrement dur, on apprends que la mère a quitté ses enfants pour aller avec un homme beaucoup plus riche et que ce n'est pas la première fois. Après un affrontement très cru avec le père et ses enfants, ils décident ensemble qu'elle va rejoindre le milieu familiale. Elle fait des efforts semble se repentir et joue son rôle de maman... jusqu'à ce que... vous alliez voir le film pour connaître la suite...

Ce film démontre le ressenti de chaque personnage avec beaucoup de détail. Parfois il m'a semblé que le film était alourdi par ce trop pleins de détails et puis, chemin faisant le tout s'imbrique parfaitement pour arriver à un réalisme presque dérangeant. Comme le disait mon cher et tendre Fantomas lorsque nous en avons parlé ensemble, Kim Rossi Stuart est surprenant, parce qu'entant qu'homme il aurait pu aborder le sujet avec une sensibilité moindre. Mais là il fait preuve d'une justesse au niveau des sentiments, qui nous empêche de prendre partie pour l'un ou l'autre des personnages. De plus, les deux enfants sont particulièrement bon dans leur rôle, un fille adolescente qui fait des trucs stupides pour se donner un peu de valeur et un petit homme pré-ado qui tente de faire sa place au milieu de tout ça et qui semble incapable de pouvoir se lâcher lorsqu'on parle d'amour. Et ce petit homme, qui garde un visage impassible et qui démontre parfois une certaine froideur face aux évènement qu'il subit a un jeu des plus impressionnant pour un enfant.

Bref, pour un premier film réalisé par l'acteur Kim Rossi Stuart, je trouve que c'est une réussite. Il nous parle d'amour d'une façon différente, qui marque et qui laisse des traces...

dimanche, novembre 18, 2007

Moody & Cookie

Ils ont un concept qui semble simple. Chacun choisi une photo par jour. Et chaque jour ces photos côte à côte nous raconte leur complicité, leurs intérêts, leur désaccord.

Chaque jour, je me connecte sur le site, un peu comme on ouvre les pages d'un calendrier pour y découvrir un nouveau jour, pour y découvrir un site au style épuré ou les images prédominent. C'est un peu comme si chaque jour on me racontait une histoire. La leur. Mais pas une vie à la Dallas ou Côte ouest, juste une image, juste un tout petit bout d'eux qui semble parfois bien plus grand qu'ils ne peuvent le penser...

Moody et Cokie

vendredi, novembre 16, 2007

Il est là...


Debout les campeurs et haut les coeurs parce que ça caille aujourd'hui....

mercredi, novembre 14, 2007

Capitaine crochet !!!

Parmi les nombreuses peurs qui ne m'ont pas quittées depuis l'enfance se trouve la peur du dentiste. Irrationnelle, intolérable et incontrôlable.

Cette peur est probablement due à deux évènements particuliers. Le premier date de mes premiers contacts avec le dentiste. Mon voisin étant dentiste, il s'est gentillement proposé pour s'occuper de nous. Quand on a 4 enfants, on apprécie ce geste et on dit merci. Malheureusement ce type avait des méthodes archaïques et se moquait bien de la douleur qu'il pouvait engendrer chez son patient. Résultat, lorsqu'on disait aïe, il répondait "tu as eu mal ? C'est étrange, je n'ai riens senti". Si j'avais été plus grande et moins impressionnée, je lui aurais mis bon coup de pied bien placé et lui aurait dit : " Tiens, il y a des douleurs que les femmes ne connaisse pas... c'est douloureux ?". Bref, ce type m'a arraché 4 dents et m'a fait des plombages que j'ai dû refaire à l'adolescence parce qu'ils tombaient en ruine.

Le second évènement date de l'âge scolaire et de la visite chez le dentiste des écoles. J'ai été choisie pour une expérience. Cette dernière consistait à tartiner ma bouche d'une substance bleue qui souligne les plaques de tartre sur les dents. Et forcément qu'après avoir mangé un petit pain au chocolat et un chewingum, mes dents n'étaient pas nette-nette. J'ai donc eu droit aux marques de dégoût de la part de mes copains de classes et gardé la coloration bleue pendant toute la journée...

Je déteste donc clairement les dentistes et je panique à l'idée d'en voir un. D'ailleurs ce n'est pas moi qui prends mes rendez-vous, on le fait pour moi. Je ne vais pas appeler pour me faire torturer non ?!? Résultat hier, je devais passer dans les mains de mon hygiéniste après 6 ans d'évitement. Après une nuit avec un sommeil mouvementé à faire des cauchemars relativement dur un noeud à l'estomac qui ne me lâchait pas, je suis arrivée comme un chien la queue entre les jambes chez elle.

En sortant de là, je me suis dit que j'étais bien stupide d'avoir stressé comme ça et en plus pour rien, puisque mes dents se portent bien. Je faisais presque la fière, jusqu'à ce que je réalise que l'air de rien, l'hygiéniste avait réussi à me fixer un rendez-vous pour l'année prochaine... Le noeud à l'estomac est revenu instantanément... Quelle nouille je fais !!!


jeudi, novembre 08, 2007

1984 en 2007...

Le matin, j'aime bien lire les news de-ci de-là, sur le net, je tombe parfois sur des choses qui me font sourire et d'autres qui me font peur...

Ce matin donc, c'est les anglais qui me font peur. Plus particulièrement une école anglaise. Afin de pouvoir suivre leurs élèves, ils ont décidé d'intégrer une puce à leur vêtement. Alors que certains élèves ne se font pas trop de soucis, parce qu'ils pourront aisément détourner ce système en confiant leur vêtement à un autre élève qui lui va en cours, je trouve le procédé effrayant.


On nous bassine depuis des lustres sur le fait qu'il faut faire confiance à nos enfants et maintenant on leur propose une puce ? A quand la puce sous-cutanée ? Dès la naissance pourquoi pas ? Ainsi, maman qui travaille pourra suivre son bébé à la trace, à l'adolescence, Maman pourra intervenir n'importe quand dans la vie de son enfant et à l'âge adulte, c'est le patron qui pourra s'assurer que son employé est vraiment à domicile alors qu'il se déclare malade.

On pourrait prendre le problème d'une autre manière en se disant que ça force ainsi à l'honnêteté et que si on ne peut plus rien cacher on se tient forcément bien. Mais alors l'honnêteté se transformerait en peur et nous vivrions tous dans la crainte, alors qu'elle doit être quelque chose d'acquis et que l'on fait sans y penser.

Je ne suis pas totalement contre les puces sous-cutanées ou autres. J'imagine l'utilité pour certains malades qui font des crises et qui peuvent être admis aux urgences inconscient. Mais lorsqu'on en arrive à toucher à la liberté de chacun, ça me révolte. De plus, nous n'avons aucuns moyens de savoir qu'elles données peuvent se trouver sur notre puce. Ça permettrait à certaines personnes peu scrupuleuses de se faire beaucoup d'argent et d'avoir la main mise sur beaucoup d'entre nous.

Alors, il nous reste encore à découvrir le vrai visage de Big Brother, parce qu'il ne m'a jamais semblé aussi réel qu'aujourd'hui...

lundi, novembre 05, 2007

Rhaaaaaa le mois de novembre...

Comme beaucoup, je déteste le mois de novembre, il annonce l'hiver, il est long et en général gris.

C'est le moment précis ou la case "pffffff j'ai pas envie" s'active dans mon cerveau. Cette méchante case contre laquelle je dois me battre en permanence. Un exemple... Je suis là entrain d'écrire, alors qu'à côté de moi j'ai une montagne de repassage. Je suis consciente que si je ne repasse pas je vais me casser les pieds pour trouver quelque chose à me mettre, mais Pffffffffff j'ai pas envie...

C'est en novembre que je rêve de grande armoire pour tout ranger dedans, en novembre que mes muscles se ramollissent, en novembre que chaque année je prends 2 kilos.

Mais, comme je suis pleines de contradictions, il y a aussi la case "bricole, bricole, bricole" qui s'active aussi. Et là, c'est incontournable. Le mois de novembre vient de commencer et j'ai déjà un meuble en carton en route, commencé à fabriquer ma déco de noël :


Commencé à crocheter une ceinture pour offrir (ne m'imaginez pas comme une vieille fille parce que je crochète hein !), je cherche des idées pour faire de jolies cartes de voeux et que je macaronne à tout va.

Je déteste le mois de novembre parce que j'ai envie de rien. Enfin, c'est surtout les tâches quotidiennes qui m'ennuient. Le temps étant peu clément je reste à la maison au chaud devant ma cheminée avec l'envie de rester en pyjama et de ne faire que ce qui me plaît...

Dans une vie antérieur, je devais probablement être un chat....

jeudi, novembre 01, 2007

Pim pon pim pon pim pon....

Un petit hommage au pompier... Parce que parfois, leur travail doit être vraiment difficile...


Pot farm burns down, making fireman's night the be - Watch more free videos