mercredi, décembre 31, 2008

24 décembre, le dessert !!!

Je vous en ai parlé il y a quelque temps, je suis une maudite du dessert de Noël. Cette année, je me suis donc décidée à le prouver en photo. Voici donc le reportage et l'histoire de mon dessert de Noël.

Pour commencer, il me fallait un gâteau. Après avoir erré pendant des heures sur le net à la recherche de la recette parfaite, je désespérai. Heureusement, belle-mamanPops allait me rendre la tâche plus facile en me disant qu'elle souhaitait avoir une vraie bûche de Noël parce qu'elle adorait ça. Je me lançais donc dans la préparation de cette dernière...

Pour commencer, il me fallait passer l'étape cruciale de la génoise. Comme vous pouvez le constater sur la photo ci-dessous, je me suis pas mal débrouillée...



L'étape de la ganache a elle, été un peu plus chaotique. En effet, bien que réalisée selon les proportions, elle ne durcissait pas cette schcreugneugneu de ganache. En désespoir de cause, j'appelais Mr M. pour me rassurer. Ce dernier m'annonçait avec beaucoup de calme : "hannnnn mais la ganache ça peut mettre jusqu'à 16heures pour durcir". J'ai eu un moment de panique, sachant qu'à 17h00 je devais apporter le dessert et qu'il était 14h00. Tant pis, je fourrais cette stupide bûche avec ma ganache toute liquide.


Et me voilà arrivée à l'étape qui me fait suer à chaque fois que je fais une bûche, le roulage. Etrangement, malgré quelques gros débordement sur le côté (c'est normal avec une ganache liquide) j'y suis arrivé... Hip hip hip hourra !!!


Malgré tout, il me fallait de quoi garnir ma bûche parce qu'avec une ganache à l'état de chocolat chaud c'est pas possible. Allez, je fais comme Mr M. me l'a conseillé, je mets ma ganache au congélateur. Après une bonne demi-heure, elle durcit ô miracle !!!


Quitte a faire une bûche, je la voulais kitch à souhait, avec des scies des sapins, le ramoneur, la neige, les boules enfin bref, tout... Ben non. Impossible de trouver des décorations digne de ce nom, j'ai dû me contenter de ça :



Alors que je pensais vous montrer a quel point je pouvais me rater les jours de Noël, la magie n'a pas opéré, le résultat est plutôt pas mal quand on aime les bûches Litchi/Chocolat et tout le monde semble ne pas avoir été étonné du peu de présence du "fourrage" intérieur.

Mais ce que je ne savais pas alors... c'est que je serai quand même punie...

Mais ceci est une autre histoire... (et même pas drôle en plus...)

jeudi, décembre 25, 2008

9

La machoire m'en tombe....


vendredi, décembre 19, 2008

Wolverine...

J'étais plutôt mitigée en regardant ce teaser, malgré tout mon coeur penchait plutôt vers le positif... et puis... est arrivé la fin du teaser et un hélicoptère... pfffffff....

mercredi, décembre 17, 2008

La petite souris de Noël...

Mr Pops et moi n'avons jamais eu de chance dans nos choix d'appartements. Si ce n'est pas la moisissure qui nous pourrit la vie, c'est les souris. Le seul appartement ou nous avons vécu sans soucis est celui qui se trouvait dans la maison des parents de Mr Pops.

Il y a un mois maintenant, nous avons déménagé dans un endroit plus que convenable, le plus bel endroit dans lequel j'ai vécu. Tout y est neuf, tout y est beau, mais comme vous avez pu le constater sur la photo ci-dessous, nous ne sommes pas seul à apprécier l'endroit ou nous vivons.

Je l'ai découvert à la façon X-files... Alors que nous regardions un film, le calendrier confectionné pour Miss A. c'est mit à bouger. Je me suis dis que le souffle de notre projecteur était impressionnant. Et puis, je me suis attardée sur le mouvement du calendrier qui n'était pas régulier. Oui, le film que nous regardions n'était pas spécialement intéressant. Ayant déjà vu quelques jolis spécimens d'araignées par chez nous, j'ai commencé à avoir un tout petit peu les flipettes. J'ai donc envoyé Mr Pops à la guerre. Ce dernier s'approchant à pas de loup a éclaté de rire lorsqu'il était à hauteur du calendrier. Et lorsqu'il l'a écarté un peu, nous avons vu notre copine partir en courant. Ô la chère petite n'était apparemment pas à son premier essai, puisqu'un chocolat était au sol et un autre complètement grignoté. Ce soir, je l'ai à nouveau prise en flagrant délit de gourmandise.

Je me vois donc dans l'obligation de lui enlever son garde manger et de lui trouver un petit piège qui me permettra d'aller lui montrer comment la maison de mes voisins peut-être très accueuillante aussi. (message perso à mes voisins qui lisent mon blog... "mais non, pas chez vous, chez les autres là... ceux qui sont très bavards, qui se mêlent de tout et à qui je ne parle pas...).

Avec toutes ces embrouilles, j'en viens à me demander si les parents de Mr Poppins ne sont pas à l'origine de tout ça...il veulent que nous retournions vivre chez eux...






P.S. : elle est tout de même tout mignonne non ?

lundi, décembre 08, 2008

M.Pops teste Cakes in the City...

Il y a des jours de décembre comme ça, ou j'ai envie de douceurs... Malheureusement, mes placards étaient vide ce week-end et je n'avais pas envie de sortir.

Dans ma quête du dessert parfait de Noël (voir ci-dessous) je suis tombée sur un blog qui ne m'a pas laissée indifférente. Premièrement à cause de son titre, Cakes in the City et deuxièmement à cause des recettes qui semblaient fort simple avec des jolies photos et tout et tout.

J'ai donc pris deux recettes de biscuit.

Pour commencer, j'ai choisi les snickerdoodles à l'orange. J'avoue que je les ai choisi uniquement parce que je suis fainéante. Oui, j'aime cuisiner, mais il y a des fois ou je n'ai pas envie de me casser les pieds. L'idée donc de faire des petites boules au lieu de sortir mon rouleau à pâte et mes petites formes m'a tout de suite séduite.



C'est joli non ?

Non seulement c'est joli, mais lorsque j'ai croqué dedans, j'ai fondu. Ces biscuits sont absolument divin et à manger sur la tête d'un pouilleux. J'ai hésité longtemps à les cacher pour ne pas les partager.


Le deuxième test allait me faire sortir mon rouleau à pâte et mes petites formes. Mais j'ai rusé et c'est Miss A. qui a mit la main à la pâte. Oui, je suis une tortionnaire. J'ai quand même fait la pâte moi-même et j'ai choisi de faire les Butterbredele, parce qu'il savaient comme un air de Noël et que j'avais envie que ça sente Noël à la maison.

Résultat des courses : ceux-là sont excellent aussi.

Me voilà donc conquise par un blog qui donne dans la simplicité et le traditionnel. Qui vous séduit à coût de belles images et de recette facile. On est très loin des recettes pompeuse avec des ingrédients introuvable si on habite pas dans le même pays que l'auteur.

Je me réjoui déjà de me remettre derrière les fourneaux pour tester le Pleyel ...

Mmmmm... vive l'hiver et les gros pull en laine qui cache les rondeurs... :p

jeudi, décembre 04, 2008

Je m'occupe sur dessert ?

Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été une maudite du dessert de Noël. En temps normal, il m'arrive rarement de rater un dessert, mais étrangement la magie de Noël ne s'applique pas à mon dessert ce jour là.

Je passe donc des heures sur un truc qui fatalement ne sera pas réussi. Le plus lamentable est probablement un dessert fait pour une vingtaine de personne. J'étais fière de ma pyramide de pâte à choux fourrée à la crème. Elle était comme dans les films, collée avec du caramel et énooorme. Pour une fois, je pensais en avoir définitivement terminé avec cette malédiction. Jusqu'à ce que ces toutes petites chouquettes se mettent à se ratatiner, se ramollir pour finir en tas informe. Et comme le tout était bien collé par un caramel bien durcit, pour le servir il aurait fallu qu'on fasse tourner cette galette affreusement dur autour de la table et que tout le monde croque dedans pour pouvoir la manger.

Pensant que le problème venait sûrement de mon était d'excitation et de pression intense ce jour là, je me suis mise à faire les dessert la veille en me disant qu'ainsi, si je me loupai, j'avais encore la journée d'après pour me rattraper. Et bien ça ne marche pas non-plus. Parce que du coup, c'est le goût qui est pourri ou la texture intérieur de mon dessert...

Puisque je vous dis que je suis maudite !!!

Mais ce qu'il y a d'étrange, c'est mon comportement... Invariablement, lorsqu'on parle de Noël et qu'on est invité, ces mots là sorte de ma bouche : "Vous voulez que je m'occupe du dessert ?"... Et forcément, ils ont oubliés le dessert du Noël précédent parce que j'aurai passé mon année à me faire pardonner avec de vraie sbonne douceurs, donc du coup, ils acceptent ! Mais pourquoi ? Pourquoi je fais ça ???

Cette année donc, n'échappera pas à la règle, je vais faire le dessert. Je plonge donc mon nez dans les blog et livre de recette à la recherche de la recette inrratable, qui en mets plein la vue et qui est succulente... Plus que 20 jours...

mercredi, décembre 03, 2008

Juste pour me défouler...

et parce que je n'ai personne sous la main et surtout, surtout, parce que je n'ai pas envie qu'on me réponde et qu'on enfonce encore le clou. J'ai envie de parler de moi. De ces moments ou j'ai l'impression d'être seule contre tous. De ces moments ou j'ai mal pour ceux que j'aime et qui ne me comprennent pas.

D'ordinaire si calme, j'avoue qu'en ce moment alors que mon visage est impassible et que je ne laisse rien paraître, j'ai envie de crier et d'hurler. Je suis profondément blessée et il faut l'avouer un peu vexée, mais aussi terriblement énervée.

Je n'ai jamais aimé l'école et encore moins les maîtresses. Ma première maîtresse était tombée sous le charme de mon frère et me considérait comme le vilain petit canard. J'ai donc eu droit à toutes les remarques possible, au savon sur la langue, aux élastiques à confiture pour attacher les cheveux etc...etc... Et je me rends compte aujourd'hui, que pour mes parents ça n'a pas été de tout repos non-plus. Parce que chaque remarque que me faisait la maîtresse était rapportée à la maison. Ainsi, quand la forme de mon pull, la couleur de mes barrettes, ma coupe de cheveux ou encore mon cartable ne convenait pas à la maîtresse, elle ne se gênait pas d'en informer mes parents. Mes pauvres parents qui à l'époque pensaient qu'un maître d'école était une autorité suprême et que je n'avais pas mon mot à dire, acquiesçaient sans rien dire.

Alors c'est peut-être pour ça qu'aujourd'hui je suis rebelle lorsqu'on attaque Miss A. (et aussi que je suis aussi mauvaise en orthographe, mais ça, c'est une autre histoire). Non seulement je suis rebelle, mais sans que je le montre, j'ai l'impression que la maîtresse m'attrape par le coeur et le sert très fort.

Aujourd'hui, j'ai été bien stupide. Je me suis contentée d'écouter des phrases comme "Elle prends des médicaments ?" (sous-entendu : "Est-elle hyperactive ?"), "On voit qu'elle fait ce qu'elle veut" (sous-entendu : "vous êtes nulle et vous la laissez tout faire") sans rien dire et j'ai agis comme mes pauvres parents, je me suis laissé faire. La bouche grande ouverte, le coeur gros en me demandant ce que j'allais faire. A l'issue de la conversation, j'ai puni Miss A. sévèrement. Miss A. a eu la chance de pouvoir exprimer sa tristesse et de pouvoir pleurer. Parce que de l'avoir puni ainsi m'a fendu le coeur et me voilà bien mal maintenant devant mon écran, mais je ne peux pas le montrer. Si la punition était méritée parce qu'elle a mal agit, je sais aussi qu'elle était trop dur et que j'ai agit par colère. Par colère de m'entendre dire ce qu'aucun parent aimerait s'entendre dire.

J'ai l'impression d'avoir échoué à quelque part sans savoir ou. Malgré tout, je ne reviendrai pas en arrière, je ne changerai pas de comportement et je dois tenir ferme cette punition sans montrer aucun signes de culpabilité.

J'ai toujours voulu un enfant avec du caractère et je ne m'en plains pas bien au contraire, parce que chaque jour est un challenge et parce qu'elle est impressionnante. Et puis, ça lui servira plus tard j'en suis sûre. Mais si j'avais su que mon souhait exaucé la ferait souffrir ainsi, je me serai ravisée.

Elle deviendra célèbre m'a dit la maîtresse... Mais moi je m'en fou... ce que je veux avant tout, c'est qu'elle soit heureuse...

lundi, décembre 01, 2008

Puce RFID pour les Sidéens...

Les malades du Sida en Indonésie auront-ils droit pour Noël à une puce RFID ?

Voilà qui est très généreux de la part de Papa John Manangsang qui a proposé cette loi. Ils pourra ainsi surveiller les malades qui ont un "comportement sexuel actif". De plus, non content de sa trouvaille, il aimerait aussi punir les malades qui ont infecté une personne saine.

Voilà qui est très intelligent il faut l'admettre. Pourquoi dépenser des fortunes en campagne de pub ainsi que dans l'information et la distribution de préservatif. Menaçons la population de punition et d'être marqué au fer rouge.

Si je vous dis étoile jaune, camp de concentration vous arrivez à faire le lien ?