lundi, octobre 29, 2007

La courge...

"A l'occasion d'une semaine halloween sur Parano.be, j'ai écris ce petit article que je vous livre..."

Comme il était particulièrement difficile de faire sourire et hurler un légume pour illustrer halloween, les créateurs de film d'horreur on choisi de l'incarner en humain.
Forcément, la courge étant féminine, il fallait que ce soit une femme. Elle aurait pu être rousse pour bien coller aux personnages, mais le roux à bien d'autre attribution concernant les femmes. Eh oui, il fût un temps ou on disait des femmes rousses qu'elles étaient possédées par le diable. Ceci aurait donc donné trop de consistance à notre courge, et la pauvre dépourvue d'expression à part le cri, n'aurait pas été crédible. Ils ont donc choisi une blonde.

La courge ayant des rondeurs généreus
es, il fallait que la femme la représentant soit elle aussi pourvue de formes avantageuses.

Mais attention, je sens que vous vous dites que je suis méchante, moqueuse et que l'image de la femme blonde en prends un sacré coup. Ce n'est pas moi qui en ai décidé ainsi. C'est les réalisateurs qui sont derrière tout ça. Regardez un exemple parmi tant d'autre de ce qu'ils sont capable de faire :


Vous conviendrez dès lors que ma description est plus qu'objective.

Alors, je dis stop. Arrêtons de massacrer les courges à tout va. Epargnons-nous leur cris strident dans les films, parce que bien souvent il faut avouer que là ou la courge est présente, le film se transforme bien souvent en soupe.

jeudi, octobre 25, 2007

la vie des autres...

Sensible comme je suis, de nombreux film m'ont fait pleurer, hurler, m'ont prit aux tripes et j'en passe. Mais jamais comme celui-ci, non jamais. En sortant du cinéma il m'a fallu 15 minutes avant de pouvoir articuler le moindre mots en ayant la certitude que je ne fondrai pas en larme.

Alors que quelques heures plus tôt à la pensée que j'allais voir un film allemand j'imaginais Derrick et La clinique de la forêt noir, je ne me doutais pas à quel point la claque que je prendrais serait grande. J'avais bien entendu parler de ce film en de bons termes et tout le monde semblait croire autour de moi que c'était un chef-d'oeuvre. Je n'irai pas jusque là, malgré tout ce que j'ai pu ressentir, mais il est évident qu'il ne laisse pas indifférent.

Je vous raconte un peu l'histoire ? 5 ans avant la chute du mur de Berlin, la Stasi officie avec zèle afin de priver indirectement de leur droit les ennemis du parti. Gerd Wiesler, membre de la Stasi, est un très bon élément et va devoir monter un dossier contre un écrivain, Georg Dreyman. Bien que ce dernier n'aie jamais rien fait pour qu'on s'intéresse à lui. Nous avons là deux personnages qui vont ensuite évoluer pendant 2 heures. Entre la prise de conscience de l'un et la prise de position de l'autre. Le temps d'un film ont se retrouve catapulté dans un passé qui n'est finalement pas si loin.

Il y a quelque chose d'Orwell et de Bradbury dans ce film, ces deux auteurs ont vu réaliser leur livre dans ce passé et je ne m'étais jamais rendu compte à quel point. Il a fallu 4 ans de recherche au réalisateur avant de commencer à écrire son film. Et ça se ressent. Par moment, les acteurs sont si bons, l'univers recréé et si vrai, qu'on a l'impression de suivre un documentaire. Ce film aurait pu se transformer en critique pure et dure du passé et pourtant il sait rester objectif sans jamais faire de surenchère, sans jamais faire de morale.

J'aimerai aussi souligné la qualité des acteurs surtout celle d'Ulrich Mühe qui, il faut bien l'avouer m'a fait penser tout le film à Kevin Spacey. Son visage impassible tout au long m'a énormément marquée.

Ce qui devait être un moment d'ennui c'est transformé en une expérience cinématographique inoubliable.

mardi, octobre 23, 2007

M.Pops teste la fabrication de Macarons...

Depuis longtemps, la fabrication de macaron me tente... J'ai longtemps hésité parce qu'il faut bien avouer que les expériences des autres n'ont pas toujours étés positives, beaucoup de raté, beaucoup de frustration et ça fait peur.

Et puis il y a eu la découverte du site Pure gourmandise, rien qu'à la vue des photos ont prends au moins 2 kilos. Après avoir testé le 200, les cookies aux 3 chocolats et le Gros gâteau au chocolat pour mon plaisir, celui de Monsieur Poppins et de mon entourage. J'étais convaincue que je ne pouvais rater aucunes recettes se trouvant sur ce site. Ne me dites pas que vous n'avez pas été tenté si vous avez cliqué sur un des liens ci-dessus, je ne vous croirai pas.

J'ai donc remonté mes manches, préparé mes ustensiles et choisi de faire les macarons à la fraise tagada.

J'ai donc assassiné les fraises tagada pour commencer...

Ensuite, j'ai scrupuleusement suivi la recette (ce qui est rare...) et j'ai fabriqué mes petits macarons. Tremblante, je les ai mis dans le four. Je m'attendais à ce que ça se craquelle, à ce que ça se transforme en grosse galette à tout sauf à ça :




Ça fait envie hein ? Merci à Pure gourmandise de m'avoir offert ma plus jolie expérience culinaire...

Age légal...

J'ai toujours été surprise par l'âge légal annoncé pour certains films. J'avoue que je ne comprends pas. C'est pour moi un peu comme les dates de péremption sur l'alimentation. Alors oui, vous pourriez me dire qu'il suffit d'ouvrir l'emballage pour voir le contenu, mais au prix de la place de cinéma, je vois mal les parents aller regarder un film et y retourner quelques jours plus tard avec leurs enfants. D'autant plus si le film a la même qualité que les télétubbies ou est un film pour pré-ado ennuyeux à souhait lorsqu'on a un cerveau d'adulte.

Je me souviens de ma frayeur lorsque toute mini, je suis allée voir seule, "blanche-neige et les 7 nains". Ma tante (trop confiante selon moi) m'ayant déposée au cinéma pour aller voir un Disney, m'a laissé seule dans la salle. Mon premier film. Je vous laisse imaginer à quel point j'ai été impressionnée par le grand écran et à quel point j'ai eu peur lorsque le méchant chasseur s'en est prit à blanche neige, puis à la biche. Bref, chaque enfant à une susceptibilité différente ce qui rends la notion d"âge légal" totalement obsolète.

J'avoue donc que je privilégie les manga type : Totorro ou Kiki la petite sorcière lorsque je dois faire un choix pour les enfants. Il ne me vient pas à l'esprit lorsque je ne connais pas les enfants de leur montrer un Disney. Parce que, quelque soit le Disney, tout est mis en oeuvre pour vous faire frémir. La musique est forte, les émotions sont intenses et accentuées. Qui n'a pas pleuré lorsque la mère de bambi meurt ?

Passons aux adolescents maintenant. D'une part il devient de plus en plus difficile de leur donner un âge, parce qu'à grand renfort de "trucs" divers, une demoiselle de 14 ans peut facilement faire plus que son âge. Et je doute que la dame du guichet aie le temps lors de grand rush de jouer les physionomistes. Et pour continuer, entre 17 ans et 18 ans, y a t'il une grande différence ? Souvenez-vous, (oui, je sais, c'est très loin pour certains d'entre vous) avez-vous senti pousser la graine de la maturité le jour de vos 18 ans ?

Alors oui, on pourrait se dire que c'est une indication et que les parents n'ont qu'à faire leur boulot. Mais qui n'a jamais dit à ses parents qu'il avait voir E.T. et c'est retrouvé par un drôle de hasard devant Alien ?

Et pourquoi ne plus mettre d'âge à partir de 18 ans ? A partir du moment ou nous sommes majeur, nous n'avons plus peur, nous ne sommes plus choqué de rien ? Et les personnes âgées alors, qui pourraient faire une crise cardiaque devant en voyant des films comme Dirty Shame, The Ring et j'en passe.

Le système de censure selon l'âge est selon moi du grand n'importe quoi, en même temps, je peine à imaginer un autre système de censure...

Oui j'avoue, j'ai écris tout ça sans avoir de point final... sans avoir de réelle réponse... une réflexion à 2 balles en somme...

dimanche, octobre 21, 2007

La vengeance d'une blonde...

En début de semaine alors que je cherchais la recette d'une colle pour le papier mâché je suis tombée sur des blogs et sites fabuleux concernant les meubles en carton. Le temps d'une journée, j'avais dessiné un modèle et j'attendais avec plus d'impatience que d'habitude la rentrée de Monsieur Pops avec mon nouveau jouet, un simple morceaux de carton que j'allais tenter de modeler. Quelques fournitures me manquaient, mais je savais qu'avec le temps que ça me prendrait j'aurais le temps d'aller les chercher. Et puis j'avoue que je ne sachant pas si j'arriverai à passer la première étape, j'ai préféré attendre avant d'acheter des fournitures que je n'utiliserai jamais. Il y a de moins en moins de place dans mon armoire à bricolage et pour la paix de notre ménage, j'ai l'interdiction de dépasser son contenu.

La première étape a été réalisée avec succès, je pouvais donc partir à la recherche de mes fournitures. En dehors de la peinture, il me fallait du papier kraft gommé, consciente que je ne trouverai pas ce dernier n'importe où, je me décidais a me diriger vers le grand centre brico du coin. Après 10 minutes de recherche intensive au milieu de mâles en salopette avec leur crayon sur l'oreille, je rends les armes et demande à un vendeur de m'aider. Celui-ci un peu perdu, va chercher un collègue qui soupire à la vue de la petite bonne femme que je suis. Je sens bien dans son regard et dans son attitude qu'il pense : "encore une bonne femme qui s'essaie au bricolage quelle plaie !!!". Perché sur son échelle tout là-haut, avec nonchalance, il me déclare : "non madame on a pas ça". Bien décidée à ne pas me laisser faire, je m'exprime correctement avec des mots simple pour que vendeur-bricolo-primate me réponde. J'insiste donc et il fini par me demander pour quoi j'en ai besoin. Après explication, Monsieur vendeur-bricolo-primate utilise une des deux phrases qu'il connaît et m'annonce : "non madame on a pas ça". Je lui souhaite donc une bonne journée avec un joli sourire. Il se retourne sans me répondre. Un peu fâchée d'avoir été prise pour une courge (c'est de saison !) et me sentant comme un pauvre petite femme perdue dans un milieu d'homme, je me dirige dans une papeterie. Un peu à reculons j'avoue, puisque l'accueil de vendeur-bricolo-primate a semé le doute quant à ma demande.

C'est avec un "oui bien sûr !!!" franc et sympathique que la vendeuse me conduit à mon papier kraft gommé. A ce moment là, je suis colère et j'ai une furieuse envie de retourner voir vendeur-bricolo-primate pour lui faire manger une partie de mon kraft gommé. Mais ma vengeance sera pire. Parce que la satisfaction du résultat et telle, que je l'ai vite oublié, sans oublier bien sûr toutes les méchantes choses que j'ai pensé de lui...


Voilà donc ci-dessus le résultat en image, pour prouver qu'une femme ne sait pas faire que la cuisine et le ménage :


jeudi, octobre 18, 2007

Babylon Fields

Après cette série, nous ne verrons plus les zombies de la même manière... Non seulement il ne se contente plus de faire des "aarrrrrrrrrrrgh, cervooooooooooo", ils vivent parmi nous...

Quand CBS mélange Zombie et série policière, ça donne ça :

mardi, octobre 16, 2007

My brain hurts...

Après avoir passé ma deuxième nuit à subir de méchantes douleurs dorsales, je tente de me réveiller en m'asseyant sur le bord du lit. Monsieur Poppins me voyant ainsi s'approche de moi et me demande si tout va bien. Je lui réponds que non, que j'ai mal partout et que j'ai très mal dormi. Ce dernier sur un ton paternel, me dit qu'il faut que j'arrête de repousser la séance chez l'ostéo et que je l'appelle. Je lui réponds alors que je l'ai fait et qu'elle a été odieuse avec moi.

Effectivement, le jour d'avant, j'ai pris contact avec cette femme pour la première fois. Lorsque je lui ai demandé si je pouvais obtenir un rendez-vous, cette dernière c'est énervée, m'expliquant qu'on ne prenait pas contact avec elle ainsi, et qu'il fallait que je passe par un médecin, d'autant plus que mon cas lui semblait neurologique... Neurologique ? Non, mais pis quoi encore, je me fâche un peu en lui demandant ce qui lui permet, sans m'avoir vu de prétendre à des problèmes neurologiques. A ce moment là, je l'entends fouiller dans ses papiers et me répondre, "ah vous voulez savoir pourquoi ? Attendez que je prenne mes notes pour vous expliquer". La moutarde me monte tellement vite au nez que je l'ai priée d'arrêter ses recherches et lui ai souhaité une bonne journée (même fâchée, je souhaite toujours une bonne journée aux gens).

Enfin, bref, je fini par me lever, me préparer mon petit thé du matin et tout doucement j'émerge avec ces douleurs qui ne me lâchent pas. Et alors que je pense au moyen de me débarrasser des ces dernières, j'ai un énorme doute. Que voulait-elle dire par "neurologique"..... et ai-je vraiment pris contact avec elle ? Mais oui !!! Ai-je vraiment pris contact avec elle ? Il m'a fallu 5 minutes avant de réaliser que tout ça n'était qu'un rêve. 5 minutes et la confirmation de n'avoir pas composé ce numéro en allant fouiller dans la mémoire de mon téléphone. C'est la première fois qu'un rêve s'intègre aussi bien à ma réalité, de quoi me laisser toute la journée dans une semi-doute...

J'aurai bien voulu que la douleur ne soit, elle aussi, qu'un rêve.....

lundi, octobre 15, 2007

Madeinusa

Même si je doute de pouvoir attiser un tant soit peu votre intérêt avec Madeinusa j'aimerai essayer, parce qu'il laisse songeur, parce qu'il laisse perplexe et parce que malgré le fait que certains aspects m'ont fortement rebutés, il m'a touchée.

L'histoire, c'est celle d'une jeune fille,
Madeinusa, drôle de prénom pour une jeune fille naïve et osons le dire, primitive. Elle est belle cette jeune fille, tellement belle qu'elle sera élue vierge lors des festivités de la semaine sainte dans son village. Pendant la semaine sainte, on descend Jésus de sa croix et on lui bande les yeux. Ainsi, pendant qu'il a les yeux bandés on peut commettre tous les pêchers puisqu'Il ne nous voit pas. Tout se serait passé ainsi, si un jeune citadin n'était pas venu mettre son grain de sel là-dedans. Parce qu'il est beau (hum pas particulièrement, mais lui, il a les dents blanches), parce qu'il ne comprends rien à leur culture, parce qu'il va tomber sous le charme de Madeinusa. Et là, vous vous dites que c'est encore un de ces films à l'eau de rose ou la pauvrette part avec le prince charmant et ils vécurent heureux et eurent beaucoups d'enfants mais non, détrompez-vous. Oui, il va être le déclencheur d'évènements qui vont bouleverser la vie de Madeinusa, mais son rôle est tout autre que celui du prince charmant.

Ce film est bouleversant, parce que la musique est quasiment inexistante, nous avons donc l'impression de suivre un documentaire sur la semaine sainte. C'est surprenant, mais ça nous accroche, parce que parfois on ne sait plus très bien ou est la réalité et ou est la fiction. Ce film est
dégoûtant aussi, parce qu'il traite l'inceste comme quelque chose de tout à fait naturel. Mais ce film est tout de même une réussite, parce que bien que la pauvreté vous éblouisse, on arrive à suivre les protagonistes sans que ça prenne le pas sur l'histoire et ça nous retourne l'estomac...

mardi, octobre 09, 2007

Tout beau, tout chaud le nouveau Burton...

Burton revient avec ses acteurs fétiche (Johnny et Helena)... Mais il n'avait apparemment pas envie de nous raconter une belle histoire toute en douceur comme Big Fish. Non, il semble qu'il ait eu envie de renouer avec l'ambiance de Sleepy Hollow et d'ajouter un peu de musique. Vivement Noël !!!


lundi, octobre 08, 2007

Janvier, février, mars, avril....

Je ne me suis jamais sentie féministe. Les pubs Aubade ne me font pas crier au scandale bien au contraire. Il y a quelque chose de fin et d'esthétique que j'apprécie. Bref, je n'ai rien contre les photos de nu, les photos coquine, tant que cela reste dans le respect de la femme.

Si je commence déjà cette réflexion en me justifiant et en définissant ce que je suis par rapport au sujet qui va suivre, c'est parce que je n'aimerai pas qu'on me prête un jugement basé sur le féminisme.

Je vais donc vous parler de photo et de femme. Plus précisément des calendriers. Après le calendrier Pirelli (qui soit dit en passant nous offre de magnifiques photos cette année), celui du film Calendar Girls, apparaît en Suisse, le calendrier de la paysannerie suisse !!!

Non, vous n'avez pas mal lu. Afin de démontrer que les femmes paysannes ne sont pas toutes de grosses tâcheronnes, afin de donner une image un peu plus "jeune" à la paysannerie, on met tout le monde à poil et on fait des photos. Sur le principe, il n'y a rien à redire. L'idée n'est pas nouvelle et elle a déjà fait ses preuves alors pourquoi s'en privé ? Jusque là encore une fois, rien de choquant. Je ne suis pas spécialement fan des photos qui ne montre aucune finesse. On a plus l'impression de voir des matrones que des femmes paysannes mais ce commentaire n'est pas très objectif, je ne m'étalerai donc pas plus sur la qualité des photos.

Là ou je réagis, c'est lorsque une participante du calendrier fait la une des journaux. Avec une photo d'elle en string dans une position féline au milieu d'un champ. Qu'a t'elle de plus spécial que les autres participantes ? Elle a 17 ans !!! Non, ça ne vous fait pas réagir ?

J'avoue qu'à l'idée que ma fille puisse à 17 ans faire des photos de nu pour que la paysannerie suisse se rince l'oeil en faisant de lourdes remarques graveleuses me glace le sang. Cette demoiselle, bien que décrite dans la presse comme saine etc, etc, a le regard et la position qui en dise long. Oui elle est jolie, oui elle est sexy, mais cette fille n'a que 17 ans.

Je peux sembler certainement vieux jeux à certains d'entre vous, mais je vous assure que les images de paysans aux regard pervers se faisant du bien en regardant la photo de cette jeune fille est loin d'être vieux jeux dans ma tête.

Finalement la paysannerie suisse ne m'aura prouvé qu'une seule chose avec son calendrier... c'est qu'elle ne vaut pas la peine de sortir de l'ombre si elle n'a que ça à montrer...

mercredi, octobre 03, 2007

Le blog de Firmin....

J'ai découvert hier soir un blog qui m'a donné envie de fermer le mien. Cette remarque pourrait sembler péjorative, mais non, bien au contraire. Mon coeur c'est empli de sentiments divers, j'ai passé une heure à lire avant de devoir éteindre mon ordinateur et ma première pensée ce matin a été pour ce que j'ai lu hier soir.

Depuis hier soir je suis émue par les témoignages de cet homme, qui nous fait partager son expérience et le lien qui l'unit à son petit-fils. Il me semble évident que mon parcours joue un rôle évident dans le fait que ce blog me touche. Mais au-delà de toutes considérations personnelles je suis complètement séduite et je suis sûre qu'en un clic vous le serez aussi :


Le blog de Firmin

Aussi loin que je me souvienne j'ai toujours aimé lorsque mes aînés me racontaient leur chemin de vie et c'est avec un esprit vif, avec des témoignages parfois dure, tendre, empli de tout ce qui fait une vie que Firmin entre dans notre coeur pour y semer une graine... Une petite graine d'ou germera une réflexion... et puis avec un peu de chance, si on est réceptif, cette réflexion ne s'arrêtera pas là et nous pourrons en tirer des leçons et apprendre....

mardi, octobre 02, 2007

Achat Vente...


Cette annonce placée juste en-dessous des mots "achat-vente" m'a mise mal à l'aise... Alors que dans le journal se trouve les rubriques "coquine", "charme" et "rencontre", cette femme a choisi de mettre son annonce dans la rubrique "achat, vente". Ma réflexion pourrait s'arrêter à la pensée qu'elle a fait une erreur de rubrique mais comme j'ai l'imagination débordante, je n'avais pas envie de m'arrêter là. Comment une femme qui écrit une annonce sans fautes d'orthographes peut se tromper de rubrique ?

Dès lors, je peux imaginer qu'elle n'avait pas envie que son annonce se perdent au milieu des annonces "rencontre & compagnie" qui prennent il faut bien l'avouer beaucoup de places. Ce qui serait je pense la meilleure explication.

Ou alors, c'est une annonce pour attirer les pervers orchestrée par un service de police qui a trouvé un bon filon pour attraper les méchants vilains pas beaux... Oui, il y a des fois ou je me dis que je devrai écrire des romans...