En ce moment j'écoute à la radio une émission sur les violences conjugales. Alors qu'une femme témoigne d'une altercation avec son mari, elle a débuté son récit par une phrase toute bête : "je suis ici parce que j'ai eu un petit soucis avec mon mari". A l'entendre, je me suis dis que c'était probablement une dispute qui avait légèrement mal tourné. Effectivement elle parlait d'un ton léger de tout ça, un peu comme si ça avait été une mauvaise blague. Et lorsqu'à la fin de l'interview cette question tombe : "Etait-il nécessaire qu'on vous sépare" elle a fini par répondre "Oui, sinon je ne serai plus là pour en parler".
Je me suis toujours dis que le moindre geste qu'aurait sur moi un homme serait le dernier. C'est probablement l'héritage laissé par ma maman qui me mettait en garde en me parlant de ses expériences. Ou le fait que mes trois frères ont toujours discrètement fait passé un message à mes amoureux. Ou encore cette bête phrase prononcée par Monsieur Poppins m'expliquant que les femmes n'étaient probablement pas moins forte que les hommes, mais qu'elle baissait les bras trop vite parce qu'elle se pense moins forte.
Quoi qu'il en soit, je refuserai en bloc la moindre forme de violence envers moi. Je peux aimer démesurément, je peux m'accrocher à l'idée d'un bonheur qui ne cessera jamais, je m'imagine capable de n'importe quoi pour l'homme que j'aime, mais il y a deux choses qui me feraient faire mes valises dans la minute qui suit. La première est la violence et ce, quelque soit sa forme, psychologique, physique, économique. Et la seconde est l'adultère, mais là n'est pas le débat.
Je peux être peste, de mauvaise fois, boudeuse, chiante, casse-pied, injuste et j'en passe. Il peut être de mauvaise fois, verbalement me piquer terriblement, claquer les portes, faire la gueule, se murer dans le silence. Quoi qu'il arrive certaines limites ne doivent pas être dépassée. Je ne connais pas un couple qui ne s'engueule pas. On a tous en nous des scènes de violence, mais aucunes ne doit nous faire perdre l'estime que l'ont a de soit ou provoquer une peur de l'autre. Quel regard poser sur un homme qui nous fait peur ? Comment vivre en pensant à la réaction de l'autre, en perdant la liberté de penser.
Je remercie donc qui de droit de m'avoir déposé dans un famille ou 3 frères ont su veiller sur moi et m'apprendre à ne pas me laisser faire. D'être tombée sur un homme qui a tout d'un héros. Et ne pensez pas que seul les femmes subissent des violences conjugales, parce que bien des hommes sont soumis à leur moitié et en souffre.
Je me suis toujours dis que le moindre geste qu'aurait sur moi un homme serait le dernier. C'est probablement l'héritage laissé par ma maman qui me mettait en garde en me parlant de ses expériences. Ou le fait que mes trois frères ont toujours discrètement fait passé un message à mes amoureux. Ou encore cette bête phrase prononcée par Monsieur Poppins m'expliquant que les femmes n'étaient probablement pas moins forte que les hommes, mais qu'elle baissait les bras trop vite parce qu'elle se pense moins forte.
Quoi qu'il en soit, je refuserai en bloc la moindre forme de violence envers moi. Je peux aimer démesurément, je peux m'accrocher à l'idée d'un bonheur qui ne cessera jamais, je m'imagine capable de n'importe quoi pour l'homme que j'aime, mais il y a deux choses qui me feraient faire mes valises dans la minute qui suit. La première est la violence et ce, quelque soit sa forme, psychologique, physique, économique. Et la seconde est l'adultère, mais là n'est pas le débat.
Je peux être peste, de mauvaise fois, boudeuse, chiante, casse-pied, injuste et j'en passe. Il peut être de mauvaise fois, verbalement me piquer terriblement, claquer les portes, faire la gueule, se murer dans le silence. Quoi qu'il arrive certaines limites ne doivent pas être dépassée. Je ne connais pas un couple qui ne s'engueule pas. On a tous en nous des scènes de violence, mais aucunes ne doit nous faire perdre l'estime que l'ont a de soit ou provoquer une peur de l'autre. Quel regard poser sur un homme qui nous fait peur ? Comment vivre en pensant à la réaction de l'autre, en perdant la liberté de penser.
Je remercie donc qui de droit de m'avoir déposé dans un famille ou 3 frères ont su veiller sur moi et m'apprendre à ne pas me laisser faire. D'être tombée sur un homme qui a tout d'un héros. Et ne pensez pas que seul les femmes subissent des violences conjugales, parce que bien des hommes sont soumis à leur moitié et en souffre.
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