On se la joue Malkovich ? Bienvenue dans ma tête....
Vous entendez le son d'un piano (Exogenesis part 3). Si vous êtes moi, vous êtes bercée, touchée profondément par le seul instrument qui ne vous laisse jamais indemne et qui vous donne des frissons, le piano. Là dessus, progressivement viennent se greffer des instruments à cordes qui donnent à l'ensemble de la poésie suivis de la voix d'un homme que vous écoutez depuis longtemps maintenant.
La musique s'arrête et pendant un instant une foule de mot tente de décrire ce que vous venez d'entendre : "génie", "copieur", "magie", "Wouaaaaaaaou", "ou pas", "classique".
Maintenant sortez de ma tête que je vous explique ce que vous avez vécu...
Si au premier abord, l'album de Muse paraissait dérangeant et décevant après une écoute approfondie et au calme, le ressentit et tout autre. Il y a dans cet album une tonne de référencesm j'ai par moment oublié que j'écoutais Muse. Il m'a semblé entendre Queen, Bach, j'ai eu des images d'Audrey Hepburn, de cinéma noir et blanc et le tout monté en patchwork.
Alors par moment il semble incohérent et puis, on replonge et on savoure. J'aime bien l'idée que je me suis faite qu'ils aient voulu rendre hommage à notre culture passée. Beaucoup de choses dans cet album nous ramènent aux années 80. J'aime aussi l'image véhiculée par cet album : "They will not force us, They will stop degrading us, They will not control us, We will be victorious" Rhaaaaaa 1984 quand tu nous tiens !
Je sais, beaucoup diront que ce n'est pas du Muse, mais finalement, avec un titre comme "Resistance" il ne pouvait pas faire un album qui corresponde a ce qu'on attendais d'eux. Il fallait qu'ils nous surprenne. Arrêtons de toujours vouloir cantonner les artistes dans leur genre, gardons J.-J. Goldman pour ça et laissons les autres faire ce qu'ils veulent.
Merci Muse d'avoir osé...
Vous entendez le son d'un piano (Exogenesis part 3). Si vous êtes moi, vous êtes bercée, touchée profondément par le seul instrument qui ne vous laisse jamais indemne et qui vous donne des frissons, le piano. Là dessus, progressivement viennent se greffer des instruments à cordes qui donnent à l'ensemble de la poésie suivis de la voix d'un homme que vous écoutez depuis longtemps maintenant.
La musique s'arrête et pendant un instant une foule de mot tente de décrire ce que vous venez d'entendre : "génie", "copieur", "magie", "Wouaaaaaaaou", "ou pas", "classique".
Maintenant sortez de ma tête que je vous explique ce que vous avez vécu...
Si au premier abord, l'album de Muse paraissait dérangeant et décevant après une écoute approfondie et au calme, le ressentit et tout autre. Il y a dans cet album une tonne de référencesm j'ai par moment oublié que j'écoutais Muse. Il m'a semblé entendre Queen, Bach, j'ai eu des images d'Audrey Hepburn, de cinéma noir et blanc et le tout monté en patchwork.
Alors par moment il semble incohérent et puis, on replonge et on savoure. J'aime bien l'idée que je me suis faite qu'ils aient voulu rendre hommage à notre culture passée. Beaucoup de choses dans cet album nous ramènent aux années 80. J'aime aussi l'image véhiculée par cet album : "They will not force us, They will stop degrading us, They will not control us, We will be victorious" Rhaaaaaa 1984 quand tu nous tiens !
Je sais, beaucoup diront que ce n'est pas du Muse, mais finalement, avec un titre comme "Resistance" il ne pouvait pas faire un album qui corresponde a ce qu'on attendais d'eux. Il fallait qu'ils nous surprenne. Arrêtons de toujours vouloir cantonner les artistes dans leur genre, gardons J.-J. Goldman pour ça et laissons les autres faire ce qu'ils veulent.
Merci Muse d'avoir osé...
1 commentaire:
J'ai découvert Muse TRES récemment avec la BO du film Twilight, qui reprend leur chanson "Supermassive black hole". Monsieur Yayef a acheté "The resistance" et j'ai adoré cet album. Donc, pour moi, point de comparaison avec ce qu'ils faisaient avant, mais tout simplement un grand moment de bonheur dans les oreilles. :)
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