Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été une maudite du dessert de Noël. En temps normal, il m'arrive rarement de rater un dessert, mais étrangement la magie de Noël ne s'applique pas à mon dessert ce jour là.
Je passe donc des heures sur un truc qui fatalement ne sera pas réussi. Le plus lamentable est probablement un dessert fait pour une vingtaine de personne. J'étais fière de ma pyramide de pâte à choux fourrée à la crème. Elle était comme dans les films, collée avec du caramel et énooorme. Pour une fois, je pensais en avoir définitivement terminé avec cette malédiction. Jusqu'à ce que ces toutes petites chouquettes se mettent à se ratatiner, se ramollir pour finir en tas informe. Et comme le tout était bien collé par un caramel bien durcit, pour le servir il aurait fallu qu'on fasse tourner cette galette affreusement dur autour de la table et que tout le monde croque dedans pour pouvoir la manger.
Pensant que le problème venait sûrement de mon était d'excitation et de pression intense ce jour là, je me suis mise à faire les dessert la veille en me disant qu'ainsi, si je me loupai, j'avais encore la journée d'après pour me rattraper. Et bien ça ne marche pas non-plus. Parce que du coup, c'est le goût qui est pourri ou la texture intérieur de mon dessert...
Puisque je vous dis que je suis maudite !!!
Mais ce qu'il y a d'étrange, c'est mon comportement... Invariablement, lorsqu'on parle de Noël et qu'on est invité, ces mots là sorte de ma bouche : "Vous voulez que je m'occupe du dessert ?"... Et forcément, ils ont oubliés le dessert du Noël précédent parce que j'aurai passé mon année à me faire pardonner avec de vraie sbonne douceurs, donc du coup, ils acceptent ! Mais pourquoi ? Pourquoi je fais ça ???
Cette année donc, n'échappera pas à la règle, je vais faire le dessert. Je plonge donc mon nez dans les blog et livre de recette à la recherche de la recette inrratable, qui en mets plein la vue et qui est succulente... Plus que 20 jours...
Je passe donc des heures sur un truc qui fatalement ne sera pas réussi. Le plus lamentable est probablement un dessert fait pour une vingtaine de personne. J'étais fière de ma pyramide de pâte à choux fourrée à la crème. Elle était comme dans les films, collée avec du caramel et énooorme. Pour une fois, je pensais en avoir définitivement terminé avec cette malédiction. Jusqu'à ce que ces toutes petites chouquettes se mettent à se ratatiner, se ramollir pour finir en tas informe. Et comme le tout était bien collé par un caramel bien durcit, pour le servir il aurait fallu qu'on fasse tourner cette galette affreusement dur autour de la table et que tout le monde croque dedans pour pouvoir la manger.
Pensant que le problème venait sûrement de mon était d'excitation et de pression intense ce jour là, je me suis mise à faire les dessert la veille en me disant qu'ainsi, si je me loupai, j'avais encore la journée d'après pour me rattraper. Et bien ça ne marche pas non-plus. Parce que du coup, c'est le goût qui est pourri ou la texture intérieur de mon dessert...
Puisque je vous dis que je suis maudite !!!
Mais ce qu'il y a d'étrange, c'est mon comportement... Invariablement, lorsqu'on parle de Noël et qu'on est invité, ces mots là sorte de ma bouche : "Vous voulez que je m'occupe du dessert ?"... Et forcément, ils ont oubliés le dessert du Noël précédent parce que j'aurai passé mon année à me faire pardonner avec de vraie sbonne douceurs, donc du coup, ils acceptent ! Mais pourquoi ? Pourquoi je fais ça ???
Cette année donc, n'échappera pas à la règle, je vais faire le dessert. Je plonge donc mon nez dans les blog et livre de recette à la recherche de la recette inrratable, qui en mets plein la vue et qui est succulente... Plus que 20 jours...
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