Comme probablement une bonne partie des gens, il m'arrive de penser au jour ou je ne serai plus là. Parfois, je stresse lorsque je ne me sens pas bien et me dis que ce jour pourrait arriver plus vite que prévu.
A ce moment là, je me dis qu'il faut sérieusement que je me prenne en main, que je fasse attention à ce que je mange, que je muscle mes jambes autant que mes doigts qui passent un temps fou à être actif sur ce satané clavier. Je pense aussi à toute ces choses que je devrais faire, être plus comme ci, ou plus comme ça.
Et puis ça passe, je redeviens insouciante et oublie complètement pourquoi je paniquais. En gros je fais l'autruche. C'est agréable d'être une autruche finalement. On regarde les autres et on s'oublie. Jusqu'à la casse, jusqu'au truc qui nous fera regretter amèrement d'avoir planté la tête dans le sable.
Arrive alors une chose qu'on attendait pas, deux petits être adorable, qui son dépendant de nous, pour qui on se doit d'être là et qu'on ne doit pas trahir. A ce moment là, il faut retirer le masque et se regarder en face. Et là, on panique deux fois plus pour le moindre petit bobo. Alors qu'avant on supportais l'idée de partir un jour, on ne le supporte plus et ça vous prends au tripes et ça fait encore plus peur.
Et puis... on oublie...
On passe beaucoup de temps à paniquer quand même non ?
A ce moment là, je me dis qu'il faut sérieusement que je me prenne en main, que je fasse attention à ce que je mange, que je muscle mes jambes autant que mes doigts qui passent un temps fou à être actif sur ce satané clavier. Je pense aussi à toute ces choses que je devrais faire, être plus comme ci, ou plus comme ça.
Et puis ça passe, je redeviens insouciante et oublie complètement pourquoi je paniquais. En gros je fais l'autruche. C'est agréable d'être une autruche finalement. On regarde les autres et on s'oublie. Jusqu'à la casse, jusqu'au truc qui nous fera regretter amèrement d'avoir planté la tête dans le sable.
Arrive alors une chose qu'on attendait pas, deux petits être adorable, qui son dépendant de nous, pour qui on se doit d'être là et qu'on ne doit pas trahir. A ce moment là, il faut retirer le masque et se regarder en face. Et là, on panique deux fois plus pour le moindre petit bobo. Alors qu'avant on supportais l'idée de partir un jour, on ne le supporte plus et ça vous prends au tripes et ça fait encore plus peur.
Et puis... on oublie...
On passe beaucoup de temps à paniquer quand même non ?
2 commentaires:
C'est bien lady Pops!
Tu avances en mettant des mots sur tes maux. à méditer...
Bien en pensée avec toi.
Le tout n'est pas de poser des mots mais de les comprendre et de les intégrer...
Merci pour ses pensées...
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