Comme tous, il m'est arrivé de ressentir le fossé des générations lorsque je discutais avec mes parents. Je me disais alors que jamais je ne vivrai ça avec mes enfants. Que je saurai me souvenir de ce que je ressentais, que je garderai à l'esprit la difficulté de communiquer et le manque de confiance en l'adulte et en soit.
Bien que je n'aie pas d'adolescent à la maison, internet, les parents avec qui je discute et l'observation du monde qui m'entoure me permettent de découvrir des mouvements, des attitudes et des actes qui me dépassent complètement. Ainsi, j'ai donc découvert, le happy slapping qui semble se répandre de plus en plus et qui consiste à filmer un passage à tabac pour ensuite le diffuser sur le net.
J'ai le souvenir d'avoir fait des tas de bêtises à l'adolescence, pour me prouver que j'existais, parce que je me suis laissée influencer, pour faire la grande, enfin bref pour des tas de raisons stupides, j'ai fais des tas de choses stupides. Mais jamais je n'aurai osé faire subir une telle violence à quelqu'un d'autre sans aucune raison particulière. La crainte de l'adulte et des méchants en uniformes était encore de rigueure.
J'ai l'impression que la génération d'adolescent actuelle a prit conscience d'une chose qui semble positive, c'est que l'union fait la force. Malheureusement certains d'entre eux ne l'utilisent pas toujours pour des actes positif.
Je me met alors à la place des parents, qui parfois vont jusqu'à craindre leur enfant et je me demande comment gérer cette situation. Qui est responsable de tout ça ? Les parents, la société, les professeurs, les mauvaises fréquentations ? Il y a sans doute du vrai dans chacune de ces raisons, mais je trouve qu'elles déresponsabilisent l'adolescent qui a commit une faute. Chaque fois qu'un adolescent commet un acte répréhensible, on va chercher dans qu'elle condition il vit, si il a été battu, si il boit etc, etc... Mais n'est-ce pas un peu facile ? D'autres qu'eux vivent dans les mêmes conditions et ne deviennent pas pour autant violent, cruel et manquant totalement de respect pour son voisin.
Je n'accuse pas tous les adolescents de violence, je suis seulement surprise d'en voir autant, de voir leur attitude désabusée, comme si ils avaient déjà tout vécu et qu'ils n'attendaient plus rien de la vie et que pour certains cela devenait l'autorisation de faire n'importe quoi.
J'appréhende donc le moment ou j'aurai des enfants devenu adolescent et que leur regards me blesseront et qu'ils me diront : « de toute façon, tu peux pas comprendre... ».
Bien que je n'aie pas d'adolescent à la maison, internet, les parents avec qui je discute et l'observation du monde qui m'entoure me permettent de découvrir des mouvements, des attitudes et des actes qui me dépassent complètement. Ainsi, j'ai donc découvert, le happy slapping qui semble se répandre de plus en plus et qui consiste à filmer un passage à tabac pour ensuite le diffuser sur le net.
J'ai le souvenir d'avoir fait des tas de bêtises à l'adolescence, pour me prouver que j'existais, parce que je me suis laissée influencer, pour faire la grande, enfin bref pour des tas de raisons stupides, j'ai fais des tas de choses stupides. Mais jamais je n'aurai osé faire subir une telle violence à quelqu'un d'autre sans aucune raison particulière. La crainte de l'adulte et des méchants en uniformes était encore de rigueure.
J'ai l'impression que la génération d'adolescent actuelle a prit conscience d'une chose qui semble positive, c'est que l'union fait la force. Malheureusement certains d'entre eux ne l'utilisent pas toujours pour des actes positif.
Je me met alors à la place des parents, qui parfois vont jusqu'à craindre leur enfant et je me demande comment gérer cette situation. Qui est responsable de tout ça ? Les parents, la société, les professeurs, les mauvaises fréquentations ? Il y a sans doute du vrai dans chacune de ces raisons, mais je trouve qu'elles déresponsabilisent l'adolescent qui a commit une faute. Chaque fois qu'un adolescent commet un acte répréhensible, on va chercher dans qu'elle condition il vit, si il a été battu, si il boit etc, etc... Mais n'est-ce pas un peu facile ? D'autres qu'eux vivent dans les mêmes conditions et ne deviennent pas pour autant violent, cruel et manquant totalement de respect pour son voisin.
Je n'accuse pas tous les adolescents de violence, je suis seulement surprise d'en voir autant, de voir leur attitude désabusée, comme si ils avaient déjà tout vécu et qu'ils n'attendaient plus rien de la vie et que pour certains cela devenait l'autorisation de faire n'importe quoi.
J'appréhende donc le moment ou j'aurai des enfants devenu adolescent et que leur regards me blesseront et qu'ils me diront : « de toute façon, tu peux pas comprendre... ».
3 commentaires:
Il y a quinze ans de cela, je jouais, moi aussi au Happy Slapping (mais à l'époque ça n'avait pas de nom) le but était de mettre une bonne claque sur la nuque d'une cible (un copain, depuis, cette règle à changée il semblerait). On en faisait pas tout un foin et on était pas les seuls à y jouer, seulement maintenant, ceux qui y jouent se film avec leur portable et la cible n'est plus vraiment un copain mais un passant lambda. Rien de neuf si ce n'est que c'est visible par plus de monde "grâce" à la technologie moderne.
je suis un ado
je trouve cependanrt ce que vous dites très vrai, meme si c'est l'esvironnement de l'adop qui le conduit a faire ce qu'il fait, le punr devrais etre une solution car il est responsable.je pense a des cas de ma classe
ça me fait vraiment très plaisir d'avoir l'avis d'un adolescent sur cette article... Merci de ton témoignage, merci de ta visite et j'espère que tu te plaira parmi les lignes de ce blog... n'hésite pas à te montrer...
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