lundi, mai 03, 2010

Comme dans un rêve...

Je n'ai pas grand chose à vous raconter en ce moment... Oui, il se passe des choses, mais comme rien n'est concret, je ne veux pas en parler de peur que ça me porte la poisse.

Je vous propose donc de me suivre dans un de mes rêves de carrière, bienvenue dans mon imagination...

J'ai commencé ma carrière en tant que photographe de guerre. Oui, sans doute une erreur de jeunesse, parce que j'avais besoin de ressentir l'humain. Besoin de me sentir vivante et que mes photos aient un sens. Et puis, après quelques beaux clichés qui ont fait ma renommée, j'ai radicalement changé. J'ai rencontré Bettina Rheims dont le travail m'a subjuguée et j'ai décidé moi aussi de délirer. De créer des décors et de rendre le corps objet et de le sublimer. Et puis, avec l'âge, je me suis lassée de tout ça et suis revenue à des choses plus simple et plus naturelle. J'ai préparé l'exposition de ma vie, sur la lassitude. Cette expo, réalisée en noir et blanc m'aura fait voyager dans le monde entier, pour photographier les gens et la nature. Juste de beaux portraits, réalisé le plus simplement possible...

Et vous ? Si vous aviez une baguette magique vous seriez qui ?

vendredi, avril 30, 2010

La pomme, l'arbre, toussa, toussa...

On se demande souvent d'où nous vient un comportement, pourquoi nous sommes si mal à l'aise face à une situation ou qui nous a filé notre mauvais caractère.

Si avant je me posais toutes ses questions sans finalement jamais trouver de réponse satisfaisante, en ce qui concerne mes enfants, je commence à être au clair. Et il y a quelques jours, j'ai réalisé qu'un des plus gros défaut de Miss A. venait de moi. Jusque là, c'était évident, tous ses défauts ne viennaient que de Mr Pops. Ceux qui me connaisse vous le diront, je n'ai aucuns défauts, c'est bien connu.

Depuis de nombreuses années, je pense et affirme que je suis timide. Voilà quelques situations qui vont vous faire comprendre pourquoi jusque là, ça me semblait évident.

- Si je dois acheter un produit que je ne connais pas ou qu'on ne m'a pas conseillé, j'envoie Mr Pops. Je ne lui avoue pas mon geste, comme je suis patiente, je garde l'idée en tête si c'est lui qui se trouve de corvée course, je glisse dans la liste l'ingrédient particulier. Comme ça, ce n'est pas moi qui demande si je ne trouve pas et ce n'est pas moi qui me retrouve en face d'un(e) vendeur(se) qui va me poser des questions auxquels je ne saurais pas répondre.

- Quand nous étions fort jeune et que nous passions notre temps à commander des Pizzas, ce n'est jamais moi qui téléphonais.

- Lorsque je suis en face d'une personne que je ne connais pas, je ne parle que lorsque je suis certaine que mon interlocuteur va trouver mon commentaire "intelligent" et que je ne vais pas me mettre dans une situation difficile.

Bref... de quoi penser que je suis timide non ? Et bien non ! En fait, je ne suis rien qu'un grosse trouillarde qui ne se met jamais en position d'échec intentionnellement. Et plus j'analyse mon comportement et plus je me dis que j'ai raison et c'est affreux.

Parce que je comprends enfin pourquoi, malgré le fait que je comprends l'Italien depuis des années, lors d'une conversation je construit toutes mes phrases dans ma tête et qu'elles ne dépassent jamais la frontière de mes lèvres alors qu'elles sont parfaitement juste. Pourquoi j'adore le scrap, mais cache mes créations parce que ma voisine à l'autre bout du champ maîtrise tellement bien que j'ai l'impression de faire de la bouse. Pourquoi j'angoisse, lorsque j'ai des invités, sur le repas préparé jusqu'au lendemain ou je les appelle pour m'assurer qu'ils n'ont pas été malade.

Et cette saleté de peur, ma finalement empêchée de me lancer dans beaucoup de chose. Parce que chaque fois qu'un truc me traverse l'esprit. Je me renseigne sur le net, je regarde comment font les autres et puis je me dis que non, je n'y arriverais pas et j'abandonne.

Alors, je me suis promise à moi même quelques petites choses à réaliser en début d'année prochaine, quand j'aurai plus de temps pour moi. Et je vais montrer à Miss A. que même un éléphant peut rentrer dans un trou de souris !

mercredi, avril 28, 2010

La science des rêves...

Ah Ah ! Je crois que mes cauchemars ont décidés de se faire la malle...

Après 10 ans de nuits agitées ou j'ai réglé des comptes avec tout ceux que je connais et même ceux que je ne connais pas d'ailleurs, je crois que mon cerveau veux me dire autre chose.

Avant, quand il en avait ras la patate que je contienne ma colère, il me faisait faire de jolis cauchemars ou je torturais celui ou celle contre qui j'étais en colère.

Quand j'avais des soucis, il en remettait une bonne couche la nuit en me faisant voir tous les scénarios catastrophe auxquels je n'avais pas encore pensé. Merci !

A certaine période, quand il avait juste envie de me casser les pieds, il allait chercher quelques disparus et m'empêchait de les sauver.

Et bien hier soir, il m'a envoyé le message ultime. Je vous raconte.

Je me trouvais dans une allée sombre, fort peu rassurante. Je savais que c'était ici que se trouvait la réponse à mon problème. J'avançais, péniblement, le coeur battant. Au fond de cette ruelle, je découvrais une porte rouge (merci Lynch) avec un symbole flou en or. Et après avoir, avec difficulté, ouvert la porte dans un long couinement, je découvrais à peu près ceci :




Sauf que les danseurs tenaient dans leur mains un produit pour nettoyer mon vitrocéram. L'emballage était doré et vert et je savais que j'avais trouvé mon Graal et qu'enfin j'allais pouvoir enlever les purées de tâches incrustées... et bien vous me croirez ou non, dans mon rêve, j'en ai pleuré...

Mon corps à semblerait-il décidé de changer de registre et se lancer dans la comédie... je vous tiens au courant si il commence à devenir bon.

dimanche, avril 25, 2010

Mots d'enfant...

Mais pour une fois, il ne s'agit pas des miens...


vendredi, avril 23, 2010

La malédiction du 2 avril...

Résumé des épisodes précédents :
Le 2 avril, jour de mon anniversaire j'ai eu droit à (entre autre) :

- Bras cassé suivi d'une hospitalisation pour réduction de fracture. Ma première opération.
- Déchirure des ligaments croisés du genoux.
- Anniversaire pendant les vacances de Pâques donc seule.
- Annonce du verdict santé de maman : 3 mois à vivre.
- Réception d'un magnifique pendentif en or, en forme de coeur. Suivie d'excuses parce que le soir d'avant le monsieur m'avait un tout petit peu trompée et il voulait une relation de confiance entre nous donc il voulait me le dire. Pour l'anecdote le coeur était soufflé, ben j'ai croqué dans le coeur et je le lui ai rendu, il avait ainsi un souvenir de ma molaire et l'impossibilité de le rendre ou de l'offrir à quelqu'un d'autre... oui, bon... j'étais jeune...
- Inflammation des deux paupières suite à une journée maquillage chez Chanel. Désormais je sais que je suis allergique au corail dans les cosmétiques.

etc... etc...

Et voici maintenant l'histoire du 2 avril 2010...

Perdue sur une colline en Toscane, je me levais aux chants des pleurs de Mr E.. Pour ne pas réveiller Mr Pops, j'ai emballé la clique et nous sommes allé déjeuner. chez nonno et nonna. En fin de repas, j'ai confié mes deux petits monstres à leur grand-parent et suis allée m'habiller. Comme jusque là, personne n'avait pensé à moi, j'ai allumé mon téléphone portable. 1 message... 2 messages... 3 messages... pis c'est tout. Un peu déçue, je découvre un messages de Mr J. et Mr J. et un de Mr F. Le premier Mr J. est un ami qui vit, malheureusement, en Belgique et avec qui je n'ai loisir de papoter que via internet. L'autre Mr J. est aussi un ami internet avec qui je dois parler environ 1 fois par mois. Et pour finir Mr F. est un ami avec qui je ne parle plus à part à nos anniversaires respectif. Pendant que je me préparais, Miss A. est venue vers moi avec les yeux en point d'interrogation : "Maman, c'est ton anniversaire aujourd'hui ?". C'est belle-maman qui venait de s'en souvenir. Alors j'ai eu droit à un bisou. Et puis plus rien.

Pas de message supplémentaire. Un "bonne fête" du bout des lèvres de Mr Pops lorsque je suis allée le réveiller, un verre de champagne et pour finir un appel de mon frère.

J'ai attendu un message de mes amis pas virtuel toute l'après-midi. Et vers 17h00, j'ai commencé à me demander ce que j'avais fais pour mériter ça.

J'ai, depuis petite, toujours rêvé de la surprise. Du truc organisé par les gens qui m'aiment, parce qu'ils s'intéressent à moi et me veulent du bien. J'aurai aimé que ça se termine comme dans les films. Après une journée difficile à ruminer tout ça, arriver au restaurant et que tout le monde crie "surprise"... mais non... rien de rien. Pourtant je devrais savoir depuis le temps que j'ai trop peu d'amis pour que ça fasse comme dans les films. Et que si Mr Pops avait une once de chevalerie, il ne m'aurait jamais abandonnée avec un genou déboîté pour aller sortir la pizza du four.

Bref, j'étais pas très bien quand je suis allée me coucher. Je me sentais un tout petit peu seule et inutile et je n'avais personne à qui m'en plaindre.

C'était bien pourri cette année... je me réjoui l'année prochaine !


P.S. Pour que mes amis ne passent pas complètement pour des vilains pas beaux, il faut dire qu'ils ont des circonstances atténuantes. Je ne sais jamais où est mon téléphone portable. Si ils ont de la chance, je réponds à leur SMS dès que je vois le message, soit environ 2-3 jours après qu'ils l'aient envoyés. Le temps que je le retrouve et que je le recharge. Ils m'ont tous souhaité un joyeux anniversaire à mon retour et du coup, je ne leur ai pas raconté tout ça... Mais bon... comme j'ai décidé d'arrêté la censure, j'assume !

mercredi, avril 21, 2010

Besoin de conseil BD...



Lorsqu'il s'agit de livre, je ne suis pas quelqu'un qui brille en société. Je lis de tout, mais suis en général très attirée par les romans d'anticipations. Pour une fille, c'est pas facile. Parce que les copines en général elles en ont rien à fiche de ce genre d'histoire et les copains, ben, ils sont tellement bons dans le domaine que lorsqu'on en parle, je prends des notes et je ferme ma bouche. Du coup, je suis une lectrice solitaire, je partage rarement mes découvertes et me contente de me faire plaisir le soir bien calée sur mon oreiller.

A 5 ans, je savais lire et depuis, j'ai l'impression que je n'ai jamais arrêté. A l'adolescence, comme beaucoup, c'est Stephen King et les biographies de Serial Killer qui m'ont tenus chaud. Je rentrais chez moi le mercredi après-midi et bien souvent, je montais dans ma chambre avec un paquet de cookies et un verre de lait et hop, je dévorais un livre. Et puis, j'ai changé de crémerie pour verser un peu dans le fantastique, surtout les histoires de vampires. Mais ce goût du vampire à l'écrit va de pair avec ma passion pour le vampire au cinéma. Comme je vous l'ai déjà dit, j'ai toujours aimé qu'on me raconte des histoires, mais surtout celles touchant aux légendes, je ne pouvais donc que tomber sous le charme du genre. Et puis, un jour ou je ne savais pas quoi lire, Mr Pops m'a tendu 1984. J'ai tellement aimé que je lui en ai demandé encore et il m'a fait découvrir Philip K.Dick. Et j'ai enchaîné ces livres les uns après les autres. Je n'ai pas encore fini ma phase K.Dick, mais pour l'instant, je prends des vacances en lisant entre autre la série des Anita Blake. Voilà dans les grandes lignes mon parcours littéraire.

Je suis une tout petite lectrice, qui prends le temps de savourer chaque livre et qui regrette souvent d'être arrivée au mot "fin".

Mais revenons au titre de ce poste. Mes connaissances en matière de BD sont déplorable. J'ai bien sûr lu tout les tintins, boule et bill et autre Gaston Lagaffe. J'ai été très longtemps une lectrice assidue du Fluide Glacial, suis une fan absolue de Pénélope Bagieu, mais pour le reste, c'est le néant. Et je me rends compte que Miss A. aime énormément la BD. D'où, mon appel à l'aide.

Connaissez-vous une série qui soit susceptible de séduire une demoiselle de 7 ans ? Je vous averti, Miss A. n'est pas très princesse... à moins qu'elle aime mettre les mains dans la boue et soit courageuse. Je lis à Miss A. des histoires depuis qu'elle est bébé, elle a donc une bonne compréhension et je ne me suis jamais arrêtée à l'âge inscrit sur un bouquin.

Voilà... j'espère que vous pourrez m'aider.

lundi, avril 19, 2010

Savoir ruser...

Ceux qui ont des enfants en bas âge savent que si on leur donnait 10 centimes à chaque fois qu'ils disent non, ils seraient millionnaires. Et je le prouve. Le temps d'écrire cette simple phrase, j'ai dis : "non, n'ouvre pas le tiroir", "non, n'attrape pas ce qu'il y a sur la table" et "non, ne grimpe pas sur le canapé". Je vous laisse donc imaginer le temps qu'il me faudra pour écrire ce petit texte.

Hier, Mr E. a découvert les prises électrique derrière le canapé. Et bien qu'il soit déjà coiffé comme Doc dans retour vers le futur, je n'ai pas envie que cet état soit permanent, je l'empêche donc de faire copain-copain avec l'électricité.



Mais il est têtu le bougre, alors il y retourne. Il attends que j'aie le dos tourné pour filer discrètement. A force de lui répéter 50 fois que non, j'ai décidé de lui expliquer d'une autre façon.

Il faut d'abord que je vous dise que Mr E. adore emboîter les choses. Je lui ai alors offert il y a quelques temps un puzzle chien 3D. Ce puzzle une fois terminé, chante et Mr E a très peur de ce chien qui chante.

Vous avez sans doute déjà compris ce qui va suivre. J'ai discrètement glissé le chien derrière le canapé et j'ai attendu. Je l'ai vu se glisser à pas de loup derrière ce dernier avec son regard rusé et ensuite j'ai vu une fusée en ressortir en disant "peur, peur, peur". Comme je suis une mauvais mère, j'ai ri. Et comme il est intelligent, il n'est plus retourné derrière le canapé.

vendredi, avril 16, 2010

So Pink...



Il y a fort longtemps que je devais changer de voiture. J'ai plusieurs fois été tentée et puis non. J'avoue qu'en matière de voiture, je me fou un peu du moteur et de tout ce qui va avec. Pour moi, ce qui importe c'est la sécurité et le look. Je cherchais donc une voiture avec un peu de caractère et qui ne serait pas grise, noir ou blanche. J'ai d'abord testé la MiTo qui est une voiture sublime selon moi. Et puis, je suis rentrée dans une 500. Et là, j'ai fais des cris de fille tellement j'ai adoré ça. Parce qu'il faut que je vous dise, une voiture pour moi, c'est forcément petit. Du haut de mon 1m55, j'ai très vite l'impression de conduire un bateau et je suis embêtée lorsqu'il s'agit de voir l'avant et l'arrière du véhicule. Donc la 500 est au format idéal. En sortant du garage, j'étais conquise, jusqu'à ce que je regarde le catalogue des couleurs... c'était d'un ennui mortel. Pour moi, cette 500 devait avoir une couleur originale, quelque chose qui l'a mettrait en valeur. Alors, Mr Pops, pour m'achever m'a emmenée dans un autre garage pour me montrer la 500 Pink, tout en me disant : "tu sais, c'est un édition limitée, il n'y en aura probablement plus". La chance à voulu que par un tour de magie, je puisse en avoir une. Je devais la recevoir en octobre, elle est arrivée en janvier. C'était long, j'en ai beaucoup voulu à Fiat. Et puis maintenant, je leur pardonne tout. Parce que ce véhicule est un petit bijou, qui se parque partout, qui se conduit partout et que Miss A. repère du premier coup d'oeil dans un parking. La première fois que je l'ai sortie pour aller faire mes courses, j'ai eu un compliment : "oh ben elle met de bonne humeur la couleur de voiture". Et la seconde fois j'ai eu droit à un : "franchement, c'est moche la couleur de votre voiture". Oui, la première phrase venait d'une femme, la seconde d'un homme. Malgré tout, j'ai eu deux chouettes conversations ces jours là. Et depuis, ma 500 drague les enfants et les bébés lui tendent les bras (je vous jure que c'est vrai !).

Vous l'aurez deviné, j'adore ma 500.

dimanche, avril 11, 2010

Vacances et réflexions...


Encore une fois, je me suis retrouvée sous le ciel calme de l'Italie pour les fêtes de Pâques. Quel plaisir que de n'avoir rien à faire et de savourer un peu, le temps qui passe tout en tentant de digérer les trop nombreux repas.

A l'issue de ce voyage, j'avais décidé de prendre une décision par rapport à ce blog. Il y a quelques temps maintenant que je ne suis plus vraiment là, que je n'écris pas forcément comme j'aurai envie de le faire et que je suis bloquée. J'avais donc envie de prendre le temps de réfléchir sur l'envie ou non de le continuer.

Après analyse, je me suis rendue compte que l'envie d'écrire était toujours là. Bien souvent, je pense à vous en me disant qu'il faudrait que je raconte ceci ou cela. Là n'est finalement pas le problème. Le problème, c'est mon entourage.

Avant, personne ne lisait mon blog, j'avais donc l'impression de pouvoir dire tout et n'importe quoi. Et puis, des gens que je connais ont commencés à venir me lire puis à commenter. A chaque fois, j'étais très étonnée qu'ils prennent le temps de le faire et puis, je me suis habituée à eux et j'ai commencé à me censurer. Parce que certains de mes textes pouvaient faire penser que je parlais d'eux, parce que d'autres traitaient de sujets qui pourraient les heurter ou encore leur donner des informations personnelles.

Pendant ces vacances, je me suis rendue compte à quel point j'avais de la peine à me livrer. Je suis une personnalité multiple, comme la majorité d'entre nous. La seule personne avec laquelle je ne fais aucun effort est probablement Mr Pops. Pour les autres, je ne montre que ce que j'ai envie de montrer. Ainsi, je me suis demandée si mes amis connaissaient des choses basique à mon sujet comme par exemple ma couleur préférée, etc... Après avoir passé des heures à penser à mes relations, j'ai réalisé que finalement, je ne les ferais peut-être pas fuir à cause de ce blog et qu'ils finiraient, si ça les intéressent bien sûr, par mieux me connaître, tout simplement.

Il me reste donc à clarifier une chose. Lorsque je parle d'un sujet, je m'inspire en général de ce qui se passe dans ma tête, de film, de série ou de sujet traité ou lu dans les médias. Si j'avais, à traiter d'une histoire touchant à l'une ou l'autre des personnes de mon entourage, je leur demanderais la permission avant de publier. Alors, non, Chers amis, je ne parle pas de vous, ne soyez donc pas offensé par mes textes.

Voilà, maintenant que les choses sont dites, je vais faire fi de mes voisins, amis et autres connaissances et je vais continuer à vous casser les pieds un petit moment encore.

Si je meurs, ce sera de la faute d''une araignée...

Aujourd'hui, c'était nettoyage de printemps chez les Pops. On a profité du soleil pour nettoyer la loggia. Enfin, quand je dis "on", c'est pas vrai, c'est Mr Pops qui a tout fait. Moi, pendant ce temps, je rangeais la cuisine et j'avais les idées vagabondes. Je pensais à un truc dont je vous parlerais plus tard et je construisais déjà mentalement mon article. J'étais donc, très concentrée. J'aime bien faire ça, ça m'évite de penser au torchon que j'ai entre les doigts et à la montagne de boulot que je dois abattre.

Bref, je pensais... quand soudain j'entends "Oh ! M***e, attention", je me retourne et là j'aperçois une grosse masser verte qui me fonce dessus. J'ai tellement peur qu'aucuns sons ne sort de ma bouche, ma seule réaction un mouvement de recul. Et derrière moi, la machine à laver la vaisselle ouverte. Je perds donc l'équilibre et j'ai l'impression que le temps se fige. Pendant que je résiste à l'inévitable chute, j'ai le temps de réaliser que derrière moi se trouve la machine et d'avoir l'impression de regarder Mr Pops, avec des yeux ronds comme des billes avec une expression de terreur. Malgré mes "non, non, non, non pas tomber" pensé très fort, j'ai fini sur le rebord de la machine. Et j'ai eu franchement mal, au dos, aux fesses et surtout à l'épaule. Tellement que j'ai pleuré et je peux vous dire que la dernière fois que j'ai pleuré de douleur, je devais avoir 18 ans. Une sombre histoire de "déboitage" de genou suite à une affirmation débile "ouai, mais moi aussi j'arrive à mettre mon pied derrière ma tête".

Ensuite j'ai ri. Je me suis imaginée arriver aux urgence avec un couteau planté dans les fesses. Et puis, j'ai ressenti une forte douleur au niveau de mon orteil... ben vous savez quoi, maintenant il est tout violet et il me fait légèrement souffrir mon orteil. Je crois qu'il est cassé. Et pour moi, le mystère reste entier. Comment en tombant sur la machine, alors que mes pieds étaient tout à fait ailleurs à ce moment là, j'ai réussi à me faire ça. Comment, je vais expliquer ça à mon médecin (si je vais le voir ?).

Il y a des fois, ou je me dis qu'il faudrait que je soigne mon arachnophobie, parce que la grosse masse verte, c'était une plume.

vendredi, mars 12, 2010

Confessions...

On a tous entendu des phrases du genre "les enfants c'est merveilleux, comment vivre sans...", "A quoi ça sert de vivre si on a pas d'enfants...", "ils font notre joie..." bla bla bla bla bla...

Non mais franchement, vous avez vu un enfant ? Un enfant d'abord c'est égoïste. Par chance, à l'accouchement, livré avec le bébé, il y a un filtre qui vous aide à gérer ça. Alors, par exemple, si l'enfant veut la dernière tranche de gâteau alors que maman en meurt d'envie et bien, sans réfléchir, maman donne la tranche de gâteau. Ce filtre, soit dit en passant, annihile aussi tout sens de l'objectivité lorsqu'il s'agit de son enfant,. Évidemment que c'est pas lui qui a tirer les cheveux de la petite fille et bien sûr que non, ce n'est pas elle qui a renversé tout le parfum de mami.

Une maman, ça pense que ça n'a pas le droit de se plaindre. Finalement, elle l'ont voulu ce mioche, alors maintenant elle va pas encore se plaindre non ? Pis de toute façon, si il est aussi débile ce niard, c'est bien parce qu'elle a échoué quelque que part.... Non ce n'est pas du vécu ? Qui vous a dit ça ?

Une maman, ça pense : "vivement qu'ils soient au lit, j'en peux plus...", et ça dit avec une voix mielleuse : "p'tit loulou, va vite te brosser les dents". Ou alors ça pense : "Mais comment je gère ça crise débile ? Il est mongolien ou quoi ?" et ça dit : "Ecoute, ça suffit maintenant, tu veux qu'on discute ?" ou alors si elle est très énervée : "arrête ou je vais te donner la fessée...". Mais ça marche pas la fessée...

Et puis, une maman, comme c'est pas toujours content de sa position, ben elle se réjouit toujours quand les autres vont y avoir droit . Et surtout, elle garde bien le secret et elle laisse les futures maman découvrir la vérité toute seule. Des fois, même, les mamans ça ment... ça dit aux autres : "Ohhhh c'est fabuleux, tu verras... l'instinct maternel tu l'as forcément... tu ne te posera pas de question, ça viendra tout seul" ou encore "Moi, si je pouvais, j'en aurai eu beaucoup plus tellement c'est bien d'être enceinte, tellement ça donne de l'amour"... N'importe quoi !

Allez, remettons l'église au milieu du village. Quand un enfant arrive dans une famille, c'est tout un univers qui s'effondre, il faut lui faire une place et puis il faut apprendre. Et chaque jour est un apprentissage et parfois, ben une maman ça a peur. Ça ne le dit pas, mais ça a peur d'échouer, parce que tout sont environnement n'est fait que pour un seul modèle d'enfant, et si, par malheur l'enfant ne rentrait pas dans les cases, on aurait droit à de jolies étiquettes et des regards accusateurs. Le patron d'une maman, c'est la société.

Ce soir, vous vous en doutez bien, c'est un de ses soir ou je suis contente du silence qui m'entoure ou j'apprécie la fin de ma journée. Et j'ai juste envie d'être honnête, rien qu'une fois et de songer à toutes les fois ou j'ai manqué de respect à ma maman, à toutes les fois ou je la poussais à bout, à toute les fois ou je l'ai vu soucieuse et je pense que, si j'avais pu le faire, ce soir, j'aurai prit mon téléphone juste pour lui dire : "je t'aime".

mardi, mars 02, 2010

La passion...

pas celle que l'on peut éprouver envers une personne, mais celle que l'on éprouve pour quelque chose.

J'ai souvent tendance à m'enflammer et à me trouver des tas de nouvelles passions. Que ce soit dans la cuisine ou les travaux manuels, je papillonne, me pose un instant et puis repars. A chaque fois, je suis convaincue que ce truc est génial, que j'adore ça et que je m'en lasserais jamais. Mais ce n'est pas vrai. J'ai besoin de changement, tout le temps. Dès que je maîtrise un sujet, je passe au suivant. Je reviens parfois en arrière, mais très rarement. Et je déteste reproduire plusieurs fois la même chose.

Samedi soir, j'ai eu la confirmation de ce que je savais déjà, je n'ai pas de passion. Le fait m'est apparu tellement clairement, que j'ai mis deux jours à m'en remettre.

J'ai toujours aimé faire parler les gens, très souvent, en les écoutant un peu, on apprends vite quelles sont leurs passions et j'aimais bien, quelque soit le sujet, regarder parler ses gens. Je trouvais ça beau.

Samedi soir, j'ai eu l'occasion de voir Mme S. jouer sur scène. Même si il a toujours été évident pour moi qu'elle se sentait comme un poisson dans l'eau dans son domaine, je ne réalisais pas à quel point. Lorsque, campée derrière son instrument, j'ai vu son corps vivre sa passion, ses yeux la refléter, je suis restée sans voix et je peux le dire, envieuse.

Et depuis, je tourne et retourne tout ça dans ma tête... non, je n'ai pas de passion... j'ai eu des semblants de passion, mais tout n'étais que passade au final. Alors, me voilà bien confuse, parce que les seules personnes que j'ai connues sans passion étaient trop terne pour que j'aie envie de leur ressembler. Je connais l'envie, beaucoup... l'envie de faire ça et puis l'envie de faire ceci.... mais la passion, c'est comment ?

lundi, février 15, 2010

Droit de réponse....

Comme beaucoup de Suisses, j'ai été touchée par les propos de Yann Moix. Je n'aime pas, en général, parler de choses qui font la Une et répandre les polémiques, mais aujourd'hui, je ne peux pas m'en empêcher.

Je mettrais au fond de ce post la vidéo qui m'a fait réagir, si vous ne connaissez pas le sujet, je vous laisse la regarder avant de lire ces lignes.

Monsieur Moix, utilise très souvent dans cette vidéo le mot "amuser" pour justifier ce qu'on lui reproche. Il dit d'abord s'être "amusé" à diffuser sur le net des insultes sur la Suisse. Bien. Il va falloir qu'il m'expliquer en quoi, traiter la Suisse de pute, de lâche et j'en passe est amusant. Le tout, j'en convient pourrait être intéressant si ce monsieur, avait eu une once d'objectivité. Mais non. Il apparaît clairement dans cette vidéo, qu'il est borné à son opinion et prêt à la défendre quoi qu'il arrive. Allant jusqu'à dire qu'il existe une élite qui ne doit pas être juger comme le reste de la "meute", sous-entendu, le citoyen moyen.

Depuis l'affaire Polanski, je lis de plus en plus souvent d'insultes sur les Suisses. J'ai vu une blogueuse écrire que les Suisses ne servent à rien et sont des cons. Je suis tout à fait prête à entendre les critiques, mais pas des insultes. Et oui, chaque pays à sont lots de cons, sa culture et ses clichés, n'oublions pas qu'il est plus facile de voir la paille dans l'oeil du voisin. Je n'ai rien contre cette blogeuse, que je ne nommerai pas pour cette raison. Mais au même titre qu'elle aurait pu être touchée si j'avais eu les mêmes propos concernant les français, j'estime avoir un droit de réponse.

Alors, à tout ceux qui pensent que les Suisses sont des cons, qu'ils ont tort d'assigner à domicile quelqu'un qui a drogué et violé une jeune fille de 13 ans, qui pensent que la neutralité n'est qu'une façon cacher sa lâcheté et plein d'autres choses j'aimerai répondre ceci :

Je n'ai pas l'âme d'une nationaliste, je ne prendrais pas la fourche pour défendre mon pays. Mais j'estime avoir la chance de vivre dans un Pays ou je peux voter pour presque chaque décision. Où, les soins de base, offert à chaque patient sont égaux, qu'on soit étranger ou suisse, un patient est un humain que l'on traite. Où je peux oublier de fermer ma voiture et la retrouver exactement ou elle était et dans l'état ou elle était.

Encore une fois, on remet en question la conduite de la Suisse avec les juifs. J'ai eu la chance, de pouvoir parler avec des papis et des mamis qui expliquaient comment ils avaient accueillis à la maison les juifs pour les cacher et les protéger. Et concernant Polanski, n'en déplaise à ceux qui le défendent, je le pendrais par les couilles si ont m'en donnait l'occasion. Cher lecteur pro-polanski, auriez-vous eu un orgasme si à 13 ans Polanski vous aurait contraint à un rapport sexuel ?

Alors oui, on est pas tout blanc, on a des défauts, mais je pense que si chaque personne, quelque soit sont origines regarde sont pays, il y trouvera autant de défaut que chez nous.

Je suis prête à entendre tous les arguments, je suis prête à changer d'avis, mais lorsque l'argumentation et cohérentes et objective. Là, Monsieur Moix et autres, il n'y a rien que de la gratuité et un très bon coup de pub pour vous en mettre pleins les poches. Je doute franchement que votre point de vue soit celui d'un homme honnête, mais plutôt celui d'un homme d'affaire, heureux que ces affaires reprennent du poil de la bête. Voilà probablement pourquoi, vous trouvez ça "amusant".



Yann MOIX ONPC 13.02.10 (1/2
envoyé par maghrebb. - L'info video en direct.

lundi, février 08, 2010

Reviens gamin ! C'était pour rire...

Il y a fort, fort longtemps maintenant, à la sortie de ma formation j'avais envie de deux choses concernant mon futur emploi. Faire un maximum de laboratoire parce que j'adorais faire "mumuse" avec la chimie et faire des prises de sang et être en contact avec les patients. Après avoir fait ma formation en gastro-entérologie, j'avais pu voir toutes les facettes de mon métier. Etrangement, la seul chose qui me dégoûte encore après toutes ses années, ce n'est pas le sang ou l'urine, mais les nettoyages d'oreille. Mais revenons à nos moutons. Lorsque nous parlions avec les copines de nos avenirs respectifs, nous avions toutes en tête les spécialités idéales ou au contraire celles que nous ne voulions pas du tout, du tout. Je me souviens avoir dit à ce moment là. : j'espère ne jamais avoir à bosser en gynécologie, faire des pipis toutes la journée brrrr... et puis la pédiatrie aussi, voir des p'tits bouts hurlant et devoir leur faire des soins, ce serait juste insupportable !"

15 ans plus tard... voici le bilan. Après avoir fini ma formation, je me suis inscrite au chômage en attendant de trouver une place. 3 semaines après l'inscription, un médecin au nom bizarre cherchant une demoiselle avec un nom espagnol ressemblant à Costa ou quelque chose comme ça téléphonait à la maison pour me voir en entretien. La chance à voulu qu'il ait téléphoné à l'école pour avoir le nom des 3 meilleures élèves sortantes et heureusement pour moi j'en faisait partie. J'ai passé 5 minutes dans son bureau à parler de tout et de rien, ensuite il a passé 2 heures à me montrer son cabinet et ensuite il m'a dit : "voilà, vous savez tout. Je vous donne la clé pour commencer lundi ?". Heu... je suis restée sans voix et j'ai lâché un petit oui. Mon premier job, dans un cabinet tout neuf, avec un médecin qui semblait sympa et j'étais toute seule pour l'assumer. Et dans quelle spécialité ? Ben, en gynécologie voyons !

Finalement, la gynécologie, ce n'est pas que des pipis. Ça a été pour moi la plus belle expérience professionnelle. J'ai appris à faire des échographies, de la petite chirurgie et le liens particulier qui se créait avec les patientes était quelque chose qui, je pense, est spécifique à la gynécologie. En quittant ce cabinet là, j'avais le coeur franchement très gros et mon patron aussi. Mais bon, j'avais un autre style de job que je ne pouvais pas refuser qui m'attendait.

Après une absence de 7 ans dans le milieu médical, j'ai repris du service ce matin. Ce n'est pas quelque chose de définitif, juste un remplacement que je n'ai pas pu refuser. Enfin si, j'aurai pu, mais je n'avais pas envie. Parce que le travail que je me suis choisi était celui fait pour moi. J'avais besoin de contact, j'avais besoin d'aventures, d'un truc qui bouge et me fasse réfléchir tout en restant dans un milieu rassurant. Bref, ce boulot était fait pour moi et je l'aime.

Oui, ce qui m'occupe depuis quelques années est fort intéressant, aussi mais le désavantage lorsqu'on est indépendante et maman c'est qu'on manque cruellement de reconnaissance.

Alors c'est avec un vrai plaisir que ce week-end j'ai ressorti ma blouse, c'est avec un large sourire que ce matin j'ai franchi la porte du cabinet et que j'ai fais pleins de misère à pleins de petits n'enfants.... gné éh éh....

Moralité : Ne jamais dire jamais...

vendredi, février 05, 2010

S'il te plaît TSR ne fait pas d'argent sur le malheur des autres...

Selon nos chemins de vie, on est tous contre quelque chose par principe. Pour les uns c'est la cigarette, pour les autres c'est le sucre, le gras et bien d'autre chose encore. En ce qui me concerne, c'est l'alcool.

Mais pour vous aider un tout petit peu à comprendre voici un brin de généalogie Popsienne :

- Papa Pops : Alcoolique
- Demi-frère Pops : Alcoolique
- Papa de demi-frère Pops : Ancien alcoolique
- Frère 1 Pops : Alcoolique
- Frère 2 Pops : A tendance alcoolique, mais lutte

Je vous laisse donc imaginer les multiples occasions ou l'alcool m'a profondément casser les pieds. Vous ne m'en voudrez pas de ne pas rentrer dans les détails. Ce que je sais, c'est qu'à ce jour, je ne supporte pas de voir quelqu'un s'enivrer, je ne bois pas une goutte d'alcool et je n'ai de contact qu'avec Frère n°2 qui lutte pour ne pas sombrer comme les autres.

L'alcool, ça rend égoïste, ça rend méchant, con très souvent et je trouve ça dégradant. Après 3 ans de silence, Demi-frère a tenté de me joindre hier. Pour me dire qu'il était maintenant sûr que je ne faisais pas partie de sa famille puisque la voiture que j'avais choisi était complètement immonde. A aucun moment, il m'a demandé si j'allais bien, il ne se souvient pas du prénom de mes enfants et lorsqu'il en parle c'est avec un certain dégoût. Pourquoi devrais-je

Il y a quelques temps, j'ai entendu un jeune homme de 25 ans, raconter son expérience avec l'alcool. Tout au long de son témoignage, il insistait sur le fait que l'alcoolisme était une maladie. Même si je suis tout à fait d'accord avec lui, c'est difficile, à la longue de ne pas leur en vouloir. Si l'un d'entre eux, décidait un jour de suivre un traitement, je n'aurai aucune peine à être à son côté pour l'aider comme je le peux. Mais en l'état, je reste loin. Je me préserve et préserve ma famille de ce fléau. J'ai décidé de ne plus endurer les attentes, les insultes, les longues discussions dans le vide et la peur qu'il leur arrive quelque chose. Chaque fois que Frère 2 me téléphone, je me demande si c'est pour m'annoncer une mauvaise nouvelle. Parce que ça touche le cerveau, le foie et bien d'autres organes encore, mais aussi le discernement et l'équilibre. Après avoir eu 5 retraits de permis, je suis contente que l'un d'entre eux ne puissent plus conduire et que les autres n'aient jamais fait leur permis. Ça n'a pas empêché les multiples points de sutures et une mâchoire brisée, mais au moins, ils n'ont blessé personne.

Alors je suis définitivement et irraisonnablement contre l'alcool et très fâchée de voir notre chaîne nationale la promouvoir après de nombreuses années d'abstinence. Des histoires comme la mienne, il y en a des milliers et tous, nous nous sentons impuissant devant l'alcoolisme de nos proches. Alors, je ne dis pas que tout est de la faute de la pub. Mais, la pub rend les produits séduisants, la pub incite et à l'heure de la "biture express" je ne crois pas que ce soit une bonne chose.

S'il te plaît TSR, montre-nous un peu plus de seins nus si tu veux pour gagner des sous, ce sera toujours plus agréable à regarder que mon père ivre mort.
tenter de garder le contact déjà ?

dimanche, janvier 31, 2010

Les mots clés...

Il y a parfois des mots clés qui me laissent perplexe. Certains me font peur aussi, mais la plus part me font rire et bien souvent, je me demande ce que j'ai pu écrire pour qu'on tombe sur moi avec ce genre de mots clés.

Mais je suis heureuse aussi de voir certains posts lu souvent, parce que je les ai écrit pour informer ou avec passion et je me rends compte que des fois, quand je ne suis pas fainéante et que je prends le temps ça en vaut la peine. Oui, ces temps ce blog est souvent léger. Je n'ai pas beaucoup de temps, et par pudeur, je ne publie pas tout ce que j'écris.

Bref, voici donc un petit florilège de mots clés que j'ai trouvé surprenant :

- geometrie comment en fait les bull en souffrent en papier
- "parce que tunnel"
- poto de balle nouvalle voiture
- toujours un collant
- blog fée du logis maniaque
- google chier street view oiseau
- mon copain dis que je pose des questions a deux balles
- oui, j'ai un copain
- +tapette +araignée
- mon mari m'insulte il me dis va te faire enculer

Et je ne vous ai mis que les plus gentils...

mercredi, janvier 27, 2010

J'envoie valser...

Là, maintenant, tout de suite, je suis entrain de sucer un bonbon à l'eucalyptus. Tu sais, celui avec le sucre autour, que seules, les personnes d'un certain âge dégustent avec plaisir. Je les mange pas parce que je les aime, mais juste par nostalgie. Bref, là n'est pas le propos de ce que j'avais envie de te dire, cher lecteur. Ce que j'ai envie de te dire, c'est : "j'e**erde le Karma".

Au cour de ces dernières semaines, j'ai accumulé beaucoup de colère. J'aime pas les maladies dégénératives et je suis en colère contre ses dernières. Mais qui a inventé cette horreur ! Le Karma ? Pour punir les méchants ? Hum... monsieur le Karma, il va falloir que tu m'expliques pourquoi, à 23 ans, je vivais le décès de ma maman, qui s'en allait, en souffrance, après une maladie agressive. Cette femme, qui, après avoir vécu les coups et violences diverses pendant son enfance. Puis subit l'alcoolisme des autres en prenant encore des coups pour finir par se saigner pour sa famille, méritait assurément de mourir à 57 ans d'un cancer du côlon. Hein ? Pourquoi ?

Et des exemples comme ça, j'en ai des milliers... Qu'on soit un vilain méchant pas beau ou un tout petit agneau, c'est kif kif...

Maintenant je vais sortir de chez moi, ne pas sourire à la dame et lui tirer la langue. Mon numéro de compte est le ++-5768-45 pour le versement, monsieur Karma, n'hésite pas à être généreux, je peux être encore plus méchante si tu veux.

lundi, janvier 25, 2010

On va tous mourir Aaaaaaaaaaaahhhhh....

Mais jusqu'ou tout ça va aller ?




jeudi, janvier 21, 2010

Mais non je ne suis pas absente....

Je dessine. Le désavantage quand on veut tout faire, c'est qu'on se rends compte à plus ou moins long terme que ce n'est pas possible. Alors, forcément on délaisse certaines choses pour en privilégier d'autres. Ces derniers jours, entre l'anniversaire de Miss A à préparer, impliquant fabrication d'invitation, de costume et de déco, plus deux trois petites choses par-ci, par-là et bien j'ai de la peine à me mettre devant mon ordinateur (à part pour jouer à Zoo World).

Bref, mon temps, libre, lorsque j'en ai un tout petit peu, je le passe à ça :


Les deux images ci-dessus, montrent le résultat d'un exercice que j'ai adoré réaliser. Le principe est simple. Faire un gribouillis composé de courbe, de droite et d'angle, sans réfléchir. Puis, l'observer sous tous les angles et faire ressortir de ce gribouillis des formes, les objets, des animaux, bref, tout ce qui pourrait être dessiné.



Je peine à trouver le bon coup de crayon pour avoir la bonne texture... je reste donc un peu coincée là-dessus et j'essaie encore et encore.

Voilà... depuis que j'ai commencé à dessiner, j'imagine les choses sous forme de trait. Lorsque je vois quelque chose de joli, je me demande quels sont les traits qu'ils faudraient pour le réaliser... j'en rêve même la nuit ! Mais j'adore ça.

jeudi, janvier 14, 2010

La Redoute...

Comme beaucoup, j'ai, il y a très longtemps, trouvé des trucs très sympa dans le catalogue de la Redoute. J'ai fais des commandes et très souvent, j'ai été déçue par la coupe, ou par le tissus ou que sais-je. Entant qu'adulte, j'ai rarement était satisfaite de leurs produits.

Et puis, est arrivée Miss A. et pour les enfants, la Redoute a de très chouette pyjama et petite tenue d'été. Je me suis donc laissé tenter et il faut avouer que la qualité est vraiment raisonnable.

Mais maintenant que Miss A. est plus grande et que nous prenons plus soin de sa garde robe, je ne commande plus rien. Et pourtant, chaque semaine, quand ce n'est pas deux fois pas semaine, je reçois, des offres, des bons ou encore des réductions. Ma boîte aux lettres est inondées de leur courrier. Alors aujourd'hui, c'est moi qui avait envie de les embêter un peu. Parce que si même moi, qui suis une patate en orthographe et en grammaire j'ai mal aux yeux quand je lis la première phrase de ce courrier, c'est que c'est vraiment grave...